Commentaire de Kétamine
sur Le Médicis 2009 de Grasset : on demande un correcteur
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En tout cas c’est la première fois que je vois un prestataire de service d’édition à compte d’auteur demander avant même de prendre le texte une somme d’argent qui est assez importante pour un livre de bonne taille (plusieurs centaines d’euros) et qui plus est, le texte n’est même pas assuré d’être accepté pour l’édition à compte d’auteur. Que devient l’argent des livres refusés ? Dans la poche...
Il y a eu aussi dans le temps des agents littéraires qui promettaient monts et merveilles après leur avoir versé 800 euros, ils « s’engageaient » à essayer de trouver un bon éditeur au malheureux auteur.
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19/02 13:07 - Lisa SION 2
Bernard, « Mon coeur est rempli de la joie, » a dit un moine rayonnant. " c’est le fruit (...)
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19/02 13:04 - Lisa SION 2
Je recommence ce post raté. " En tout cas c’est la première fois que je vois un (...)
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18/02 18:27 - Lisa SION 2
Ce qui veut bien dire, Kétamine, que l’on signe pour un nom et non pour un contenu. Ceci (...)
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18/02 18:25 - Lisa SION 2
Tout à fait Norbert, imaginez dans mon cas quand je m’amuse, puisque cette occasion (...)
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18/02 18:23 - Kétamine
Cela existe des éditeurs qui signent un contrat sans avoir lu le livre. cela arrive rarement (...)
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18/02 17:45 - norbert gabriel
c’est peut-être aussi le fait d’un auteur confirmé dont personne le lit le (...)
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