" Je passe sur le titre 3, à vocation
juridique (même si la partie sur l’autorisation de se servir de la
langue est très drôle), pour aborder le titre 4 qui m’a bien fait rire. «
Alors rions un bon coup
» En somme,
l’espéranto ne peut plus évoluer que sur la marge. "
Le fundamento est un noyau de langue très restreint, donc on
peut faire beaucoup autour
" C’est donc que
Zahmenof a été saisi par la grâce divine et qu’il s’est vu révélé la
langue, la seule, qui n’aurait pas besoin d’évoluer jusque dans ses
fondements pour exprimer le monde. Je ne suis pas philologue, mais enfin
on m’a toujours dit que le statut d’une langue dont les règles sont
fixées une fois pour toutes et pour laquelle les évolutions sont
cantonnées à la marge est celui de « langue morte ». "
C’est surtout le coté tendance naturalistes de certains
partisans, donc une multitude de réformes infinies qui aurait détruit la
langue. L’exemple du volapuk et de l’ido en sont de parfaits exemples,
chaque reforme « bien meilleur » que l’ancienne
à conduit à des conflits tellement extrème. Pour vous dire les conflits
dans l’espéranto sont minimes en comparaison de celle de l’ido et du
volapuk. Que cela à conduit à la fin de ces deux langues
" Et le titre 5 est, quant à lui, totalement dispensable,
quoique révélateur. Outre la « définition » du terme « espérantiste » (j’ai
mit « définition » entre parenthèses pour la simple raison que celle
avancée pour le mot « espérantiste » est stricto sensus celle du terme
« espérantophone » et que si « espérantiste » doit être employé, il
conviendrait de lui donner un autre sens), la recommandation d’adhérer à
une société espérantiste révèle en effet que l’espéranto... est
apparemment vouée au vase clos ! Voila qui est
pour le moins contradictoire avec la vocation affichée au titre 1 (même
si, déjà, elle est bancale) "
Mais écrit non obligatoire. Car de nombreuses ideologies
existent associer à l’esperanto, donc à chacun ses affinités. Moi pour
ma part je ne suis affilier à personne