Tiens, ça tombe bien, le TIME parle lui aussi de Ben Laden, et de sa mort probable en 2001 quelques semaines après sa fuite de Tora Bora...
Is the U.S. Hotter on bin Laden’s Trail ?
http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1966651,00.html?xid=rss-topstories
[...] Bin Laden’s last confirmed presence was at the siege of Tora Bora, in eastern Afghanistan, in December 2001, when the al-Qaeda chief and dozens of his men bribed Afghan mercenaries hired by U.S. special forces to let them escape, probably into the Pakistani mountains directly across the border. A Pakistani intelligence officer who was the main liaison with the Taliban before 9/11 tells TIME that he informed then President Pervez Musharraf that bin Laden, who was said to be gravely ill, most likely died several weeks after Tora Bora and was buried in a hastily dug, unmarked grave in the Ghazni Desert of eastern Afghanistan. « He was too sick to walk on his own two legs or even ride a horse. His men had to tie him to a donkey, » says Brigadier Amir Sultan Tarar, better known to his Taliban confederates by his nom de guerre, Colonel Imam. [...]
Trad rapide :
La dernière présence confirmée de Ben Laden, c’était au siège de Tora Bora, dans l’est de l’Afghanistan, en Décembre 2001, quand le chef d’Al-Qaïda et ses hommes ont soudoyés les mercenaires afghans embauchés par les forces spéciales US pour qu’ils les laissent s’échapper, probablement vers les montagnes Pakistanaises juste de l’autre côté de la frontière. Un officier de renseignement pakistanais, qui avait été le principal agent de liaison avec les talibans avant le 11-Septembre, déclare au TIME avoir informé le président Pervez Musharraf que Ben Laden, qu’on savait être gravement malade, était probablement mort quelques semaines après Tora Bora et avait été inhumé à la hâte dans une tombe anonyme dans le désert de Ghazni, dans l’est de l’Afghanistan. "Il était trop malade pour marcher sur ses deux jambes ou même monter un cheval. Ses hommes ont dû l’attacher à un âne », a dit le brigadier Sultan Amir Tarar, mieux connu chez ses coreligionnaires talibans sous son nom de guerre, le colonel Imam.