Olivier, au sujet du méthane, il en était question ce matin dans le magazine « Terre à terre » de Ruth Stégassy, dont le sujet était, ce n’est pas une blague, les régimes végétariens.
Il se trouve que les végétariens qui au départ avaient deux motivations, à savoir, la santé et l’éthique vis-à-vis des animaux, en ont pris en considération une troisième : l’environnement, et je les rejoins sur ces trois points cela va sans dire, sinon dans mes actes du moins dans mes tentatives.
Sur le point qui nous préoccupe, outre les pollutions chimiques (antibiotiques dans les urines animales qui se retrouvent dans l’eau que nous buvons, citons les lisiers responsables avec les pesticides des algues vertes en Bretagne, et surtout, le méthane, 90 fois plus polluant en terme de GES que le CO2 qui lui n’est pas, rappelons le, toxique.
L’allimentaton carnée des occidentaux provoque bien d’autres dégats et ce post fait « à main levée » est trop court pour les citer tous, mais je note que cette « imposture CO2 » devient préoccupante particulièrement en ce qu’elle occulte les véritables dégats qu’occasionne notre mode de vie occidental, pour le dire plus nettement, le capitalisme.