@Objectif X2.
Mais les conférences réunissent des représentants de plusieurs pays qui en général ont publié des articles quivalents dans les revues citées, avec comité de lecture.
Mais vous pouvez trouver des choses intéressantes sur le web, le site de la banque de données du CNRS : HAL, ou alors le site arXiv.org. Mais l’historique des publications se trouve à la Doc de Saclay, car il n’y a pas de révolution quotidienne dans le domaine de la science physique. Tout cela progresse lentement, donc il faut prendre les historiques pour comprendre de quoi il s’agit.
Une publication scientifique à la différence avec les papiers sortis par les antinucs par exemple, comporte toujours des références bibliographiques, des références passées pour montrer dans quelle trajectoire de recherche elle se situe.
Pour faire des transmutations sans aller chercher de la Z-machine, je reviens sur la publication de l’ECN à Nantes, un plasma comprimé à 2000 bars..
Qui a décidé de ne pas poursuivre les essais avec la Z-machine du Centre d’Etudes de Gramat, et bien la direction de la DGA en concertation avec les responsables du CEA, démocratiquement nommés par les instances française élues..
Qui suit les problèmes de prolifération en France ? Plusieurs services :
- la DCRI à Levallois-Perret.
- La DGSE boulevard Mortier à Paris.
Informations réunies centralisées pour action au Secrétariat Général de la Défense Nationale, SGDN, service du Premier Ministre (car la guerre est une chose trop sérieuse pour la laisser aux mains des militaires) aux Invalides à Paris juste mitoyen du tombeau de Napoléon, et du musée de l’Armée.
A savoir aussi les informations récoltées dans chaque ministère français par les « hauts fonctionnaires de défense » qui correspondent avec le SGDN. Le suivi des stagiaires notamment, etc..
Vous n’êtes pas arrivé à modéliser la Z-machine de la Sandia, vous devez avoir un mauvais logiciel. Essayez avec le logiciel du Laurences-Livermore DYNA-3D ou alors avec le logiciel MAG des Russes d’azamas-16.
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