Typique phrase issue de la non reflexion.
Non remise en cause du cadre, non réflexion philosophique ( sur le systeme carcéral ).
« Les prisons coutent, les contribuables payent, les prisonniers doivent travailler pour équilibrer le tout » : pensée bien inscrite dans le cadre imposé par le capitalisme. Évidemment à partir de là, vous ne pouvez que suivre les rails sur lesquels ils ont posé votre wagon.
« Il y a des plages et des forets a entretenir », autrement dit il faut bien faire de l’argent. Puisqu’on ne VEUT pas en prendre autre part, autant trouver des petites astuces, créer de nouveaux marchés, en depit de tout. Tiens, je vais commercialiser mon urine en tant que boisson energisante : qui peut s’y opposer, cela va créer de l’emploi et du profit ! C’est exactement la même pensée qui pousse à la création de marchés totalement stupides ou néfastes ( armes, bouffe dangereuse,...).
« Le déficit public est suffisamment profond ».
Vous êtes vraiment un mouton.
Loi 73 Giscard Pompidou, Art 104 traité de Maastricht.
La dette vient uniquement de là.
Vous suivez les rails. Sans remettre en cause le cadre. Alors oui evidemment, les solutions ( le liberalisme ) sont toutes faites. C’est le but de la manœuvre....