A la base l’Europe devait être une fraternité de peuples soudés par le désir de la paix et de la liberté.
C’est devenu une usine à gaz absconse. Partout les partis extrémistes voient leurs scores monter parce qu’une clique de bons à rien et une chienaille financiere ont décidé de transformer cet idéal en machine à pomper du fric. Cette Babel a demi ensevelie dans ses propres turpitudes ne tient plus que par la rouille. Bernés par des mercenaires de la haute finance, les peuples qui la composent commencent à rêver de l’envoyer cul par dessus tête rejoindre le monde fantasmatiques des rêveries avortées.
L’avenir semble être dans le démantèlement de cette breloque bâtie de bric et de broc par un cartel de sangsues internationale qui n’a jamais travaillé, n’a jamais servi ni à rien ni à personne, sinon aux blanchisseurs et aux malfrats de haut vol.
Nous avons voté « non ». Mais puisqu’on nous contraint à supporter la mise à sac de nos biens et de nos institutions par des jean-foutre et des loosers libéraux, il va bien arriver un moment où on renverra la bête à la niche en lui flanquant un coup de pied sous la queue...
L’avenir de l’Europe, c’est la débâcle, la violence, la destruction, et la vengeance.
Et cela pour une seule raison : des économistes qui plânent dans des sphères de réalité virtuelle ont gobé les sornettes de néo-réacs dont le manque d’inspiration, l’avarice et la pingrerie maladive ont littéralement laissé exangue ce beau rêve transformé en épave.
Les dernières hyènes rongent les os qui restent. Peut-être bien qu’en dernier recours, les peuples reprendront leurs terres et leurs biens en main en jetant à la fosse toutes les têtes de mort et les précieuses ridicules de salon qui les ont vampirisé jusqu’à plus soif...
Je suis pour la destruction et le démantèlement de cette anachronisme apatride qui n’a aucune utilité sinon celle d’ajouter au superflu de mercenaires de la finance au dépens du nécessaire des autres. N’étant pas gandhi, il se pourrait que la reprise en main populaire qui vient ne se produise pas dans la dentelle et la courtoisie, de bon aloi chez les prélats de ce merdier invraisemblable...