Merci Philippe pour cet article,
Mais pas pour mes amis les vautours !
Pauvres bêtes, les comparer aux banksters de la haute finances !
Qu’ont-ils fait pour mériter ça ? Ils volent moins haut qu’on le
croit, ne mangent que des bêtes déjà mortes et laissent le
meilleur aux autres oiseaux !
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Sur le fond,
En fait c’est pire que ça ! 
Tu sembles en vouloir beaucoup aux
spéculateurs et surtout ne voir qu’eux. En fait les manoeuvres
spéculatives ne correspondent qu’à la partie émergé de l’iceberg
d’un système conçu pour enrichir les parasites qui l’exploitent. Ce
qui pipe cette construction financière est, fondamentalement,
l’usure. Elle existe sous deux formes, l’usure dite normale (mais ne
l’est déjà pas, celle-ci résultant du rôle confié à un intérêt
privé, de fonctions financières normalement régaliennes et de
service public), de base ou d’appuis (termes plus justes), et l’usure
d’opportunité (c’est la spéculation, laquelle constitue bien une
forme d’usure qui s’ajoute à l’autre mais ponctuellement. La
combinaison des deux constitue un « effet de levier ».) Un "effet
de levier" peut être aussi provoqué avec une usure et une
plu-value industrielle ou commerciale. Attention là : La plu-value
n’est pas le problème contrairement à ce qu’a dit Marx (ce type a
beaucoup écrit sans jamais comprendre la véritable cause des
crises ! Par ailleurs les entreprises sont elle-même inféodées au
système, tout comme les états ayant renoncés à frapper leur
monnaie, cas des états européens.)
L’existence même de l’usure est la
base du problème. Ce, parce qu’elle aspire à terme toutes les
richesses et nous oblige à courir après une croissance maligne et
destructrice.
Solution évidente : Abolir l’usure !
(Ce qui implique une renationalisation de tout le système bancaire
qui devient alors un service public.)