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Commentaire de Halman

sur Y a-t-il un lien entre le QI, l'athéisme, le comportement libéral et l'exclusivité sexuelle chez les hommes ?


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Halman Halman 1er mars 2010 17:06

En fin de 3ème au collège on nous a tous fait passer des tests de QI.

J’ai été très surpris du résultat.

Je m’imaginais que les premiers de la classe auraient les plus gros QI, et bien non c’était l’inverse.

La première de la classe a difficilement répondu correctement aux 7 premières questions avant d’abandonner, le deuxième aux 11 et moi cancre à 49 sur 50 faute de temps.

Mon interprétation est la suivante : le QI mesure la compréhension.

Les premiers de la classe ingurgitent les cours sans comprendre et les recrachent en mode automatique sans chercher à vraiment comprendre. Nous autres cancres essayons de comprendre, ce qui prend du temps, ce qui fait trouver les erreurs des cours. Donc les cours erronés de maths avec des erreurs de calculs et dans les formules, on refuse de les retenir. Donc mauvaises notes.
Un prof de math qui fait des erreurs grossières de calcul dans les fractions et les équations du second degré, comment peut on écouter ses cours ?

Une prof de français qui nous explique que l’euthanasie est une bonne chose comment un gamin peut il accepter ça sans broncher sinon les premiers de la classe pour avoir les meilleures notes ?

Les bons de la classe l’acceptent parce que l’autorité (la prof) l’a dit alors ils mémorisent.
Nous, nous nous posons des questions, somme choqués et refusons ces données. Donc à la restitution dans les interos et dissertations on se paye la bulle.

Quant au rapport du QI et de l’athéisme je suis assez d’accord avec l’article. Pour moi quelqu’un qui a besoin de religion a perdu son bon sens de la réalité et a besoin d’une béquille théologique pour pourvoir a ses propres incapacités.

La preuve : très peu de croyants sont scientifiques. Et les scientifiques qui deviennent croyants le deviennent à la fin de leur vie quand leurs recherches tombent à l’eau et que la retraite arrive.

Il y a donc bien une différence fondamentale de paradigme dans les manières de voir d’un scientifique et d’un croyant.
Les scientifiques n’attaquent pas les croyants, mais qu’est ce que les croyants nous agressent !


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