@epapel
Je commence par l’argument le plus bête :
’ ... Et en plus d’être inconsistant, vous êtes inconstant : n’aviez vous pas dit que vous arrêtiez de discuter avec moi ?...«
J’ai d’abord dit, en des mots plus châtiés, que vos »enc....age« de mouches semblaient n’intéresser personne.
Et, si vous tenez vraiment à avoir »le dernier mot« , je finirai bien par vous le laisser.
Sinon, sur le fond, je peux aussi »reformuler«
- Si le réchauffement se produit, je n’aurai pas plus de »raison de me lamenter« que de la survenance de n’importe quel événement naturel, éruption volcanique, tremblement de terre ... ni de raison, bien sûr, de me réjouir.
- Si le réchauffement ne se produit pas, je n’aurai pas non plus de raison particulière de me réjouir, surtout si ce »non -réchauffement« devait s’avérer une glaciation. En effet, à tout prendre, pour l’espèce humaine, il vaudrait mieux +4°C que -4°C ... Et je n’ai
1) Aucune raison de penser que l’une de ces deux hypothèses soit plus probable que l’autre, sauf les »arguments« du GIEC ... qui me font autant d’effet que les prédictions de Nostradamus.
2) Pas la fatuité de penser que, par mon comportement, je pourrais influer sur des événements cosmiques qui n’ont pas attendu que l’homme ait l’idée de se dresser sur ses deux pattes de derrière, pour se manifester.
Suis-je assez »lourd" ?
Je reformule :
- si le réchauffement climatique est réfuté, j’aurai toutes les raisons de me réjouir de m’être trompé, en tout état de cause ma position actuelle est positive car elle pousse à l’action
- si le réchauffement climatique est avéré, vous aurez toutes les raisons de vous lamenter de vous être trompés, en tout état de cause votre position actuelle est négative car elle vise à empêcher les autres d’agir