à « jesuisunhommelibre » : comme le font souvent les ignares, vous vous conduisez en cuistre : aux états-unis, « liberal » désigne les démocrates (democrats), les progressistes, les gens libéraux sur le plan social et philosophique, opposés au conservatisme (republicans). A l’inverse, en France, le terme « libéral » est revendiqué par la droite et les réactionnaires sur les plans sociaux et économiques, par les conservateurs, donc par les homologues français des républicains. C’est un « faux-ami » bien connu de la langue anglaise, que vous eussiez dû apprendre a minima avant de vous ridiculiser ainsi.
Sur les élucubrations de Roungalashinga : ce pauvre Rounga a toujours été plus doué pour la mauvaise foi que pour le raisonnement, hélas pour lui. Ainsi, il semble croire qu’avoir trouvé un prix Nobel crédule suffit à nier l’existence d’une relation de causalité statistiquement vérifiable entre crédulité et développement de l’intelligence ! C’est le même « raisonnement » que celui qui conduirait Rounga à affirmer que tous les basketteurs sont des nains parce qu’il a entendu parler de quelques basketteurs nains ! Pitoyable ...
L’argument suivant est typique de la mauvaise foi de Rounga : il m’attribue arbitrairement un comportement dont le simple énoncé est une absurdité, parmis 4 comportements tous aussi stupides les uns que les autres ! En vérité, Rounga mélange tout : il confond - volontairement - crédulités et hypothèses. Toute recherche scientifique repose sur des hypothèses. mais une hypothèse n’est scientifique que si elle est réfutable. C’est précisément ce qui différencie une hypothèse scientifique des crédulités dogmatiques. De plus, les 4 comportements absurdes de Rounga et sa « conclusion » correspondent à sa rhétorique habituelle : inverser la charge de la preuve, en demandant aux personnes rationnelles de démontrer la fausseté d’élucubrations cléricales, alors qu’il revient rationnellement aux adeptes des crédulités de prouver leurs fariboles !
Rounga dit aussi : « il y a des erreurs dans la Bible » ne signifie pas « tout ce que dit la Bible est faux ». C’est logiquement incontestable, certes, mais il est encore moins contestable qu’une seule erreur aurait suffit à ruiner la prétention vaticane à « l’infaillibilité » du dogme !!! Une seule erreur dans le dogme suffit à démontrer que ce dogme est faillible. Et, au premier février 2010, on recensait dans la bible au moins 1582
absurdités, 356 erreurs scientifiques et historiques, et 453
contradictions internes.