J’entends souvent cette hypothèse des pétroliers. Mais est-elle corroborée par les faits ? Le Giec et les politiques climatiques semblent avoir de bien plus nombreux soutiens. Je passe sur les producteurs de nos journalistes héliportés ou les monarques fondateurs du WWF. Le parcours de Maurice Strong n’est-il pas révélateur de cette faune qui, sous couvert de bonté environnementale, vend les politiques malthusiennes du XIXème ?
Moi-même, j’avais lu un livre de Walsh (?), où l’histoire de île de Pâques était donnée en analogie du futur de l’humanité. Il était donné à voir un monde exigu, surpeuplé, peuplés d’hommes fous vénérant des dieux qui sombre dans la destruction.. Cela m’avait persuadé que l’environnement était bien la chose la plus importante.
Mais en regardant un peu plus profondément la chose, la comparaison semblait excessive. D’un point du vue physique (ma formation initiale), l’effet de serre, au-delà de son image simple, n’est pas vraiment étayé d’un point de vue scientifique. Les climatologues Giekystes tendent à l’utiliser en violant le second principe de la Thermodynamique, à savoir, il est rigoureusement impossible, physiquement, pour un gaz, dans une atmosphère froide, de réchauffer un corps plus chaud que lui (la surface), la loi du rayonnement du corps noir ne s’appliquant de toute façon de manière correcte qu’aux solides... Pire encore, la température étant une grandeur thermodynamique intensive, parler de température moyenne n’a pas de signification physique.
Il est fort surprenant que ces grosses failles conceptuelles ne soient pas discutées...
En regardant, l’histoire des promoteurs du réchauffement climatique, d’un point de vue politique, on constate des gens comme Maurice Strong, Rockefeller, Tatcher, Al Gore, la monarchie anglaise, Pineau, Bouygues, Sarkozy...
L’explication m’est venu ainsi : les promoteurs influents du « réchauffement anthropique » sont issus des courant politiques malthusiens. Ils ont déversés des quantité astronomiques de pognon, à la fois pour subventionner les recherches sur le climat, mais en concentrant tous les moyens sur ce qui incriminerait l’activité humaine, et à la fois pour en faire la promotion publicitaire et médiatique (avant la démonstration...).
Cette bulle climatique a fait émerger tout un réseau de climato-anthropophobes. Des chercheurs, des journalistes, des écrivains, des intellectuels, des politiques, des instituts de formations, des fonctionnaires spécialisés, même des animateurs pour enfants... Tous ont suivit l’argent qui avait été mis au départ, avec en plus la conviction du bien agir.
Las, au bout du compte, tous ont été trompés.
De démonstration il n’y a pas. Il n’y a que bidouillages et combines visant à empêcher tout débat rationnel, soit en diabolisant ad hominem celui qui porte des éclairages différents, soit en conspirant contre les revues qui laisse la parole à tous, soit en refusant de livrer les informations sur lesquels sont fondés les modèles pour permettre leur vérification...
Bref depuis vingt ans, on me bourre le mou médiatiquement avec cette histoire, en assurant de sa scientificité, et au bout du compte, il n’y a qu’une forte probabilité dégagée par un consensus d’experts triés sur le volet, et triés de telle manière qu’ils adhèrent au consensus, bien-sûr !
Et bien, je n’aime pas les gens qui manipulent ainsi. Maintenant, quoi qu’ils racontent, je m’en moque totalement, ils n’ont plus la moindre crédibilité à mes yeux.
Le réchauffement climatique, c’est une arnaque.
Bien, maintenant pour l’explication des questions d’argent ?
Les oligarchies n’ont pas de problèmes d’argent. Avec leur capital amassé, leurs familles peuvent survivre pendant des millénaires. A une condition cependant, c’est qu’il n’y ait pas de changement politique majeur, c’est-à-dire qu’elles puissent assurer la transmission tant de leur domination que de leurs biens à leurs progénitures.
Les oligarchies n’ont pas de problème d’argent, elles n’ont que des problèmes politiques.
Elles utilisent leur puissance économique pour faire émerger les politiques qui leurs sont favorables (du moins à ce qu’elles croient), et c’est ce qui guide tous leurs investissements dans la science, les médias, l’art, bref toute la culture au sens large qui permet au mouton citoyen d’aller lui-même à l’abattoir en chantant.
Le problème, c’est quand les gens ne sont plus dupes, car alors plus rien ne prend. Même ceux qu’ils font vivres, grâce à leurs financements, n’aimant pas se sentir collaborateurs d’une infâme politique, les sabotent en douce.
Un centième de seconde suffit à démasquer le mensonge.
Une fois que le vrai visage est perçu, les gens ne sont plus coopératifs.
Pour celui qui s’éveille, il s’agit de voir quels sont les secteurs, dans la science, l’art, la philosophie, bref dans la culture, que la politique oligarchique s’est employée à subvertir, pour précipiter la société dans l’ornière et tenter d’assoir sa domination.
Il faudra pour juger de cela, quitter les voies de la pensée unique et user de sa raison.