bonjour caleb iri
l’argent n’est qu’un moyen d’échange fantastique qui a permis et facilité l’évolution des échanges économiques, il n’est qu’une reconnaissance de dettes dont la garantie est fluctuante elle peut aller de l’économie réelle à celle d’un crédit de confiance en soi même.
le capitalisme s’il ne nous détruit pas, (ce que je pense qu’il adviendra), sera une transition vers une nouvelle civilisation.
contrairement à ce que nous pensons ce n’est pas la raison qui commande (jean marie Albertini explique bien cela, je te joindrait le lien). ainsi sans nous en rendre compte nous reconstituons des organisations dominantes, ce que je nomme les « dominants systémiques », car l’on peut légiférer supprimer les têtes qui ne nous conviennent pas, nous confirmons tous les jours par nos actions sa prégnance et nous nous transmettons culturellement ses valeurs, l’individualisme, la compétition, et la force du droit.
sans les nuisances écologiques produit de nos production nous continuerions ainsi sans aucune interrogation. s’interroger ne signifie pas comme tu le soulignes mettre en place ce qui pourrait être une justice, ( le fumeur sait que cela peut le tuer et continue etc.) car nous épuiserons nos réserves jusqu’au bout, si notre raisons comprends les risques, elles n’enregistre pas sensoriellement ceux-ci , de sorte que nos sens répondent aux sollicitations des « dominants systémiques », y compris par la force du droit.
c’est pour cela que toutes les mesures de régulation en vers une justice sociale se trouvent en permanence remis en cause, malgré les conquêtes sociales, pas seulement parce que l’évolution suit son cours, mais parce que le modèle de référence qui repose sur l’éducation parentale’ l’instruction publique, la rationalité mathématique, ont été élaborés pour répondre au soucis de capitalisation des ressources pour en reproduire d’autres dans une démarche rendu exponentielle grâce au développement du savoir technologique et scientifiques.
le libéralisme est une bonne chose car il implique la « liberté » individuelle dans celle des autres dans une espèce de réciprocité vers un intérêt commun dont la motivation est toujours la recherche de l’estime de soi dans ce que l’on entreprend, en occupant une place indispensable dans les processus de socialisation qui l’a fait surgir, ce n’est pas disposer des moyens de production pour aliéner l’autre. Marx est toujours d’actualité dans son analyse
nous n’arrivons pas non plus à nous sortir de ce faux débat public privé, l’état n’est pas l’ennemi du libéralisme, il en est l’émanation, puisqu’il est le résultat de la décision individuelle, privé, de chaque citoyen qui confie un mandat à certains d’entre eux.
quel inconvénient y aurait-il à ce que chaque citoyens, détiennent un titre de propriété de la poste par exemple, si cela avait été le cas, les citoyen auraient perçus plus facilement qu’ils se faisaient déposséder au bénéfice de quelques particuliers.
car le libéralisme capitalistique conduit à cela par justement recherche permanenta de capitalisation pour en arriver à une domination monopolistique.
nous somme encore en servitude, mais plus de manière permanente, en temps seulement, suivant la durée du temps de travail qui nous lie a un employeur, c’est toujours le rapport au travail du 19° siècle, réaménagé par le socialisme, mais celui ci mort nous allons retrouver les mêmes conditions d’exploitation antérieurs adaptés à ce siècle, a moins que les débris du socialisme et la cacophonie écologique puissent modeler une espérance nouvelle avec toutes les idées qui flottent on se ground. l’avenir se trouve dans ce que j’appelle le matérialisme éclairé un parie sur notre intelligence au service de nos sens, donc à l’opposé de ce qui se développe.
cordialement.