@Jean Lasson
Vous rappelez les travaux de Gerlich et je vous en remercie.
J’avais lu cela sur l’extraordinaire site « pensée unique » de Jean Martin.
Les seules « réfutations » que j’ai trouvées sur le web sont des bordées d’injures et d’insultes sur des blogs réchauffistes. C’est compréhensible étant donné l’atteinte mortelle à l’icône absolue du réchauffement anthropique.
Mais, pour la même raison, on aurait pu s’attendre à ce que cette nouvelle extraordinaire soit reprise par les autres scientifiques sceptiques connus - et devenir le centre d’une formidable bataille entre les théoriciens de la physique, puis qu’elle règle le problème - ce que je n’ai pas vu non plus (ais-je mal cherché ?).
Alors, cela me laisse perplexe, et comme mes connaissances personnelles en physique théorique ont largement atteint leur date de péremption , je m’abstient de me poser en arbitre d’un débat qui n’a pas lieu, et de reprendre la nouvelle à mon propre compte, en attendant que cela se décante.
Il y a d’autant moins d’urgence que le caractère catastrophique d’un éventuel effet de serre - si Gerlich avait tort - n’est de toutes les façons pas avéré. Si Gerlich a raison, il n’y a pas d’effet de serre, et si Gerlich a tort, l’effet de serre est négligeable ...
Un réchauffement de 1°C comme effet direct pour un doublement du CO2 n’a en effet vraiment pas de quoi « casser quatre pattes à un canard », au point que les catastrophistes sont obligés d’invoquer une rétroaction positive - non prouvée et assez contre-intuitive - pour valider leurs thèses cataclysmiques au bénéfixce de la terreur climatique.
Merci en tout cas.