Le problème est le « droit du sol » appliqué sans discernement en France.
On a ajouté le « droit du sol » au « droit du sang » qui est le seul droit naturel et qui est le seul droit appliqué dans la plupart des pays du monde à l’exception de quelques pays occidentaux.
Et c’est cette exception occidentale qui pose un problème dès que l’on veut appliquer le « droit du sol » à des enfants nés en France de parents originaires de pays qui n’appliquent que le « droit du sang ».
Car dans ce cas on fabrique des double-nationaux qui ne peuvent pas obéir à deux allégeances en même temps.
Notons que sur ce point, UNE FOIS DE PLUS, notre droit se heurte en particulier au droit musulman de façon frontale. C’est vraiment peu de dire que le droit musulman est incompatible et contradictoire avec notre droit, puisqu’on en finirait pas de relever les contradictions entre les deux.
En effet sur ce point du droit de la nationalité, TOUS LES PAYS MUSULMANS appliquent EXCLUSIVEMENT le « droit du sang », tous les enfants de parents Algériens sont Algériens, car tous les enfants de parents musulmans doivent être musulmans.
Et les pays musulmans vont même plus loin, puisqu’ils INTERDISENT à leur ressortissants de changer de nationalité.
En effet, tous les Algériens doivent rester Algériens, car tous les musulmans DOIVENT rester musulmans.
Le changement de nationalité est interdit, tout comme l’apostasie est interdite ; Et la seconde interdiction explique et entraine automatiquement la première, qui n’en est qu’une conséquence.
Le problème est donc le suivant :
Comment peut on conférer la nationalité française par « droit du sol » à des individus qui ont déjà une nationalité par « droit du sang » qu’ils ne peuvent pas abandonner ?
C’est impossible et l’application du « droit du sol » devrait être réservé au enfants de ressortissants originaires de pays qui n’appliquent pas exclusivement le « droit du sang ».
Par ailleurs, les problèmes d’incompatibilité entre le droit laïc et démocratique occidental et le droit coranique deviennent de plus en plus nombreux et de plus en plus profonds, au fur et à mesure que les musulmans soulèvent et soulignent ces incompatibilités les unes après les autres en réclamant le droit de rejeter notre droit à la faveur d’incidents de plus en plus fréquents.