Il n’y a là aucune
fuite Ffi : celà fait déjà longtemps déjà que j’avais évoqué l’arrêt de mes
contributions, et cela à plusieurs reprises ; donc redescendez un peu,
vous n’avez pas participé à cette décision.
Avec cet argument
qui n’en est pas un : vous ne faites que démontrer tout ce que j’ai mis en
évidence depuis le début que ce soit quant à la nature de vos propos, que ce
soit quant à ce qu’on peut discerner de votre personnalité. Dernier commentaire
démontrant que bien que vous prétendez distinguer identité/idée, objet/sujet :
vous n’êtes qu’une farce, une imposture.
Je vous ai
signifié courtoisement mon départ : vous ne trouvez à répondre que par un
dernier sursaut d’orgueil et de vanité : continuez donc à poursuivre les
fantômes d’anciens intervenants ainsi, fantômes dont la liste ne fait que
s’allonger, liste que des personnes telles que vous aident à allonger…
Sur ce je vous
laisse avec ces derniers mots, que je laisse à votre intime réflexion….
« Mais,
la vérité, c’est que vous avez tenté de me tromper
en me sortant des métaphores bidons pour m’induire à une conception erronée,
puisque les sociétés humaines ne sont pas réductibles à des agrégats ondes
/ corpuscules, contrairement à ce que vous vouliez me faire croire,
petit canaillou ! »
Ffi : je
n’ai jamais eu l’intention ni le désir inconscient ou non(oui, j’anticipe vos
tentatives d’analyse) de vous tromper vous ou quiconque : vous avez bloqué
sur onde/particule alors que l’idée
essentielle était dualité…voyez à
quel point, le langage humain mérite d’être étudié…bref…
Vous savez Ffi :
ce qui est dommage c’est qu’alors que vous accusez autrui (notamment
scientifiques ou chercheurs, et ici archéologues, historiens, linguistes,
anthropologues, etc…) de catégoriser, de tomber dans le statique ou la statistique,
de nier le vivant pour préférer l’inerte :bref vous ne faites que parler
de vous : vous jugez a priori l’Autre, vous le rangez
dans une catégorie, vous le supposez enfermé dans tel ou tel dogme,
soumis à tel ou tel carcan idéologique ou conditionnement, vous le
catégorisez, vous le rangez dans le statique :
lui nier la capacité d’évoluer, de changer, de s’émanciper de tel ou tel biais,
doctrine, etc…finalement, vous le percevez inerte, statique, « mort »….
Et vous ne vous
rendez même pas compte de cette contradiction fondamentale qui est là, en vous,
dans votre perception de l’Autre et du regard que vous portez sur lui…et
quelques soient les échappatoires qu’il vous offre, vous vous réfugiez dans vos
certitudes,
votre autisme, vos convictions : votre propre conditionnement.
vous vous présentez philosophe et de l’ironie que j’ai pu usé
dans nos échanges, vous ne concevez l’ironie que comme négative, et oubliez
qu’elle signifie aussi reconnaissance de l’autre, d’une forme d’estime
de son interlocuteur que l’on juge assez subtil pour en saisir la finalité ; et qui bien souvent n’est
pas celui que vous préférez retenir mais simplement d’interpeller, de
bousculer, d’attirer l’attention puis la réflexion : non pas rejeter
l’Autre dans l’inerte tel que vous le faites mais l’inviter à réagir, le
concevoir comme agissant et non pas figé
dans tel ou tel carcan.
De la même façon, vous vous
présentez physicien, et lorsque je
vous invite à considérer que nos perspectives ne sont pas antagonistes mais
peuvent se compléter, se rejoindre dans tel ou tel domaine : vous
m’enfermez à nouveau dans tel ou tel carcan, vision ou position figée…ne
pensez-vous lorsqu’on aborde le langage humaine en tant
qu’anthropologue et linguiste d’un côté et depuis la cybernétique ou
l’ingénierie DSP de l’autre :
ces deux perspectives que vous opposez abordent le langage humain sous des
angles différents sans considérer que telle ou telle approche est la seule
valable ou pertinente mais que les deux nous renseignent sur les différents
niveaux de perception, de représentation, etc…du langage humain…
L’anthropologue, le linguiste
s’intéressera pour le premier par exemple la langue depuis une perspective
culturelle, s’intéressera à la poésie, au
répertoire folklorique, aux joutes oratoires dans telle ou telle culture, etc…le
second à la syntaxe, la sémantique, la
sémiotique, la stylistique, la structure de telle ou telle langue,etc…alors
que le cybernéticien aura une approche systémique
centrée sur les notions d’information, d’échange, d’interactions,robotique, IA,
etc…et le dernier, l’ingénieur DSP
lui avant tout au traitement numérique du
son : une onde transitant par des circuits, des
processeurs, des ordinateurs, une onde
que l’on traite, compresse, filtre, etc…dont
les développements se retrouveront dans votre quotidien : haut-parleurs, reconnaissance vocale,
formats audio,I.A, etc…
Alors ce chant,ce poème, ce discours, etc…que l’anthropologue abordera
par la culture, que le linguiste abordera
par la phonétique, la structure, le
style, que le cybernéticien abordera par l’IA, la communication, l’anthropotechnie que l’ingénieur aborde
par l’acoustique , et bien
appartiendra pour les uns au domaine du
vivant, du dynamique, du créatif, du culturel, de l’humain, pour les autres
appartiendra à ce que vous appelez domaine de l’inerte…cela voulant simplement dire non pas qu’une seule approche
est valable ou considérée mais que plusieurs sont possibles.
Et là, fût l’essentiel de mon
propos : que vous auriez sans doute entendu si vous ne vous étiez enfermé
dans une position figée, inerte,
refusant de revenir sur vos a priori…la fierté peut être une qualité, mais si
l’on tombe dans le registre de l’orgueil ou de la vanité : alors on
s’éloigne de l’autre, car on ne l’entend plus : on l’a jugé déjà…
Ces personne auxquelles vous avez
témoigné votre mépris : l’archéologue, l’historien, le linguiste,
l’anthropologue,etc…savent que la carte
n’est pas le territoire mais que et carte(inerte) et territoire(vivant)
les renseigneront sur l’Histoire, la Culture, la Civilisation, l’Homme…le Vivant…
Voilà donc, recevez ces propos
comme vous le voulez : je le redis à nouveau il est dommage que vous
n’ayez pas envisagé nos échanges sous l’angle de l’échange justement…
j’ai parcouru vos commentaires,
non pas à votre manière pour chercher tel ou tel mot ambigu, telle ou telle phrase
maladroite mais pour découvrir mon interlocuteur et n’ai rien vu qui
constituerait source à conflit
idéologique majeur, hostilité naturelle mais bien plus des convergences, des rapprochements possibles, des ressemblances…alors
donc simple conclusion : dommage.
Sur ce, continuez à poursuivre un
fantôme si tel est votre souhait, mais rappelez vous que vous n’aurez plus
aucune réponse ou écho…juste le vide, le néant virtuel…où aujourd’hui, je
disparais, vous laissant à vos moulins à vent…sans rancœur, sans mépris…
Et rappelez-vous Marc-Aurèle, les hommes étant faits les uns pour les
autres, on se doit soit de les supporter, soit de les instruire…
Sincères salutations,