Comme d’hab, personne ne relève que Lula c’est Santander tout comme Zapatero (qui a empêcher de règlementer les hedges fund aujourd’hui même comme par hasard).
Bref des baudruches qui se dégonfleront quand la banque coulera (mais les nations avec, c’est ça le problème)
http://www.solidariteetprogres.org/article6290.html
Cette victoire (aquisition de Banco Real) ne faisait que couronner l’offensive lancée depuis
longtemps par Santander pour, selon
l’agence Bloomberg,« construire la République de Santander dans le pays de Lula ». Comme nous l’avons signalé à
l’époque, Santander n’a pas hésité à
contribuer à la hauteur d’un million de dollars à la campagne
présidentielle de Lula da Silva en
2002. Après son élection, alors que les banques étrangères étaient
réticentes à prêter de l’argent aux Brésiliens et craignaient que Lula efface une partie de la dette, Banco Santander appuyait le président en gardant
ouverte une ligne de crédit pour le commerce avec le Brésil.
Début 2007, Santander a réussi à
placer deux « anciens » managers de la banque, Miguel Jorge et
Mario Toros, à de hautes fonctions de l’Etat : respectivement celui de
ministre du Commerce et celui de directeur de la politique monétaire à
la Banque centrale.
Quand le 17 septembre, le président Lula
da Silva s’est entretenu à Madrid avec le Premier ministre espagnol
José Luis Rodriguez Zapatero, le président de Banco Santander, Emilio Botin, figurait
évidemment parmi les invités et a vivement salué les deux « ex »
employés de la banque.
Ce qui n’a rien avoir avec Chavez !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!