Commentaire de ARMINIUS
sur L'inconfort du poète, Jean Ferrat
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Merci à l’auteur pour cette évocation douce amère, du coup je suis allé faire un tour dans mon grenier pour inventorier mes 33 tours, six Ferrat ! je suis en train de me les repasser sur mon vieil électrophone, une chance, le saphir est encore OK : « c’est si peu dire que je t’aime.. ».soupir de mon épouse, belle étrangère débarquée de Teutonie en Mai 68 : « tu te souviens quand nous nous sommes connus, tu ne passais que ça... » et d’un seul coup tout m’est revenu,les années hara-kiri, Reiser,Wolinski, « garderem lou larzac », L’enterrement de Pierrot syndicaliste Renault, victime des crs,
la contrescarpe, notre première bouffr ensemble au « Requin Chagrin » il parait qu’il existe toujours...le requin ?peut-être, le chagrin surement, celui d’avoir perdu le dernier compagnon de notre jeunesse...
Derniers commentaires
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26/03 10:44 - jack mandon
@ A tous Chacun retourne à son quotidien, nous avons pu constater que le deuil répond à des (...)
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24/03 09:38 - jack mandon
@ A tous merci, La voix de Jean Ferrat raisonne claire, chaleureuse et rayonnante par delà la (...)
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24/03 08:41 - jack mandon
@ petite soeur, Je pense à Roland Giraud qui a perdu sa fille, « Elle est toujours présente (...)
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24/03 00:57 - Gavroche
Merci pour ce témoignage nuagerouge. On le sent sincère et je le partage.
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22/03 22:29 - nuagerouge
Bonsoir, merci pour ce bel article et les belles réactions lues ici et là , sur cette page . (...)
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22/03 10:05 - kall
Adieu mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade... Ils ont déjà mis leur costume Et leurs (...)
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