Je ne puis que féliciter la raisonnable et juste attitude de ce guichetier, qui à n’en point douter est une personne douée de raison et certainement éduquée, et qui sans nul doute tout comme moi-même se tient instruit des dernières avancées en matière d’anthropométrie, craniométrie ainsi que physiognomonie, et qui donc à juste raison et avec esprit scientifique a su estimer raisonnablement la naturelle inclination à la rapine, au brigandage, à la sournoiserie, de cette personne non seulement métèque mais aussi nègre ; et que l’on peut donc raisonnablement soupçonner d’anthropophagie, en plus des tares ataviques précédemment citées.

Et j’invite ce monsieur à s’intéresser à Monsieur Buffon qui dans le Tome XIV de son « Histoire naturelle de l’Homme De la dégénération des animaux  » saura l’instruire quant à la justesse de sa réaction face à ce nègre métèque que Monsieur Buffon décrit en ces termes :

« le Nègre serait à l’homme ce que l’âne est au cheval ; ou plutôt si le Blanc était l’homme, le Nègre ne serait plus un homme, ce serait un animal à part comme le singe » ;

rejoignant par là Monsieur Voltaire qui s’interrogeait ainsi : « Il n’est pas improbable que dans les pays chauds des singes aient subjugué des filles. ».

Ce monsieur guichetier n’a donc point fait preuve de racisme ordinaire, mais non seulement d’une grande clairvoyance ainsi que d’un respect certain quant à l’Ordre naturel voulu par la Divine Providence, ainsi que quant à la hiérarchie entre les races que la Science ne cesse de confirmer.

Aussi de retour d’un long périple m’ayant conduit du Transvaal au Sud des Etats-Unis d’Amérique, et bien que n’ayant que trop de réticence à fréquenter hérétiques calvinistes, anglicans ou protestants qui s’étant éloignés de la juste voie tracée par notre Sainte Mère l’Eglise, se condamnent ainsi à la damnation éternelle, je me dois de reconnaître, ainsi que de m’en réjouir positivement, le progrès que représente un développement séparé entre les races conformément à leur rang dans la hiérarchie naturelle ainsi qu’une juste et positive ségrégation.

Et par là, je ne fais que rejoindre Monsieur de Sepulveda qui dans son « Dialogum de justis belli causis » s’exprimait ainsi :

« Et il sera toujours juste et conforme au droit naturel que ces gens (« nations barbares et inhumaines ») soient soumis à l’empire de princes et de nations plus cultivés et humains (…) Et s’ils refusent cet empire, on peut le leur imposer par le moyen des armes et cette guerre sera juste ainsi que le déclare le droit naturel (…) En conclusion : il est juste, normal et conforme à la loi naturelle que les hommes probes, intelligent, vertueux et humains dominent tous ceux qui n’ont pas ces vertus. (…) Et cela est juste et utile qu’ils soient serfs, et nous le voyons sanctionné par la loi divine elle-même. Puisqu’il est écrit dans le livre des proverbes : « le sot servira le sage » » ;

et je ne puis que me féliciter que Monsieur le Premier Ministre d’Afrique du Sud, Monsieur Johannes Hans Gerhardus Strijdom ait su appliquer avec raison le juste et positif principe du baasskap, établissant en conformité avec la divine volonté et avec la Science, la naturelle hiérarchie entre le maître blanc et le nègre serviteur.

En conclusion, je ne puis que regretter que l’attitude de ce guichetier soit ainsi blâmée, alors qu’elle ne fût que juste et raisonnable, et conforme autant à la Nature qu’aux desseins du Seigneur Notre Dieu, qui a l’homme blanc à donner supériorité autant en technique qu’en esprit, autant en nature qu’en stature sur les autres races de ce monde, et qui ainsi l’a destiné au gouvernement du monde et des peuples inférieurs.

Seuls des esprits dégénérés, corrompus par les agents de la corruption maçonnique et judéo-bolchévique ne sauraient apprécier les vertus d’une société où ce noble guichetier n’aurait point eu à questionner ce nègre métèque, celui ayant été instruit de sa place et donc n’aurait point osé commettre cette infamie que de se rendre dans un lieu qui naturellement et raisonnablement ne peut que lui être interdit.   

p.s. : pour ceux qui ont pris l’habitude de me moinsser, sachez que Monsieur François-Ferdinand est à lire au second, voir tierce degré…non, Monsieur de la Friche en Souche n’est à un néo-nazi, ni un nostalgique de l’apartheid…