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Commentaire de Internaute

sur Droite, gauche, centre, kézako ?


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Internaute Internaute 19 mars 2010 17:28

Je n’ai pas compris grand chose à tout ce charabia qui noie le lecteur dans des théories sans liens avec la réalité politique. Aujourd’hui, être de gauche ou de droite n’a plus aucune signification. Ce n’est pas plus discriminant que chausser du 41 ou du 42, qu’être pour le PSG ou pour l’OM.

Si l’on remonte dans l’histoire pour y rechercher des références plus solide sur la gauche on est bien obligé de constater qu’elle a gagné l’ensemble de la classe politique dirigeante. Avec quelques nuances, la droite applique une politique de gauche à outrance. Seul le langage est un peu moins « camarade » et un peu plus « monsieur ». Quand on voit que l’Etat régit la vie des citoyens dans le moindre détail, qu’il s’immisce de plus en plus dans la vie privée, que nos libertés individuelles sont supprimées l’une après l’autre, que toutes les lois on été passées pour dévaloriser la famille française dans notre droit en mettant celle-ci en concurrence libre et faussée avec n’importe quelle union (libre, moitié libre, homosexuelle, multi-nationale), que les citoyens sont taxés à hauteur de 65% de leur revenu en moyenne, on se demande ce qui nous différencie d’un régime purement communiste. Nous avons quelques milliardaires ; les communistes aussi on eu les leurs. Peut-on se dire qu’on a un gouvernement de droite quand on regarde le fonctionnement de l’Education Nationale et le contenu des programmes ? Les mots gauche et droite on perdu leur sens avec toutes les cohabitations. Lorsque l’électorat ne force pas la cohabitation, l’UMP et le PS s’accouplent cependant dans des ouvertures pornographiques. Ils ne peuvent plus se passer l’un de l’autre.

Le véritable clivage politique est celui qui sépare les mondialistes des nationalistes. Les premiers s’imaginent qu’en renvoyant à l’étage du dessus nos problèmes ils y trouveront une solution alors que ce sont les mêmes hommes qui siègent aux deux étages. Les mondialistes croient que tout le monde est égal, que tout se vaut et que les autres nous veulent du bien. On y retrouve la jonction de tous les universalismes utopiques, socialistes, catholiques et de la haute finance.

Les nationalistes au contraire pensent que le peuple et sa nation est le périmètre le plus adéquat pour bien vivre ensemble. Leurs valeurs sont progressistes : respect d’autrui, respect de la parole donnée, respect de la propriété, respect de notre belle culture, faire face à ses responsabilités, croire en la valeur travail , avoir conscience qu’on n’est qu’un trait d’union entre le passé de notre pays et son avenir. Il ne s’agit pas de tout jeter aux orties mais au contraire d’avancer en préservant nos acquis pour que nos enfants vivent mieux que nous.


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