Vous êtes grotesque, la tête que je me suis choisie me ressemblerait, et donc ?
Mais un conseil, quant à faire dans l’outrance, allez donc chez votre opticien, confondre un pot et une bombe vous promet quelques ennuis de fondement, ce qui pourrait réduire à néant vos batifolages dans le monde des merveilles cher Alice.
Vous affirmez bien trop haut votre bonheur et votre jouissance qu’on en vient à douter tant qu’il serait sain que je vous laisse mon tour chez l’honorable praticien que vous me conseillates plus haut.
Au demeurant, je ne me suis en aucun cas senti visé plus que vous ne l’êtes et que ne l’est quelque intervenant ici, votre répréhensible sottise est de celle qui mérite critique et le droit est mon droit, ne vous déplaise.
Maintenant s’il fallait se transformer en oie blanche pour vous plaire, vous vous êtes méprises sur le lieu et vos différents propos démontrent, sans ambages, que vous êtes de l’espèce que vous désirez anéantir, constat qui vaut bien consultation.
Sachez que je n’ai nulle haine envers vous, il faudrait pour cela vous en montrer digne, et la revanche ne vient qu’après l’assault qui me semble bien absent de par chez vous.
Pour en finir, mes jours sont comptés, effectivement, comme le sont les votres et ceux de l’ensemble des êtres vivants, c’est notre dur lot, qu’y puis-je, auriez vous découvert la pierre que nous ne le sachions ?
Vous me paraissez bien déprimée malgré vos bruyantes exclamations.
Si je ne peux vous aider en rien, souffrez au moins que je vous plaigne...