@Imhotep
Que dois-je vous répondre ?
Que vous faites dans la légereté ?
Ais-je remis en cause votre probité ?
Je ne fait qu’un constat, vérifiable celui-là, le constat que sur un article mal fagoté et partisan vous avez attiré ce qu’Avox compte de plus insupportable parmi les commentateurs.
Vous me reprochez une haine, c’est votre droit et c’est aussi mon droit d"avancer que si on peut tout dire, la condition est que le discours soit honnête, non dévoyé et conforme à la réalité, le cas contraire ne mérite que vindicte et mépris, alors si une centaine de zélateurs des théories racialistes, fascistes et totalitaires viennent plusser votre article, il y a un problème dont la responsabilité vous incombe.
Je crois avoir assez souvent dévoilé de ma vie pour ne pas plonger le pied dans l’exécrable et tout au contraire avoir respecté ceux qui sont respectables.
Maintenant appuyé un article sur des on-dits, sur des chiffres fallacieux et imaginaires ou sur des expériences personnelles pour en tirer une quelconque loi, règle ou définition me semble au plus haut point dangereux quand les thèmes abordés frolent les idéaux les plus fangeux, alors au même titre et dans la même veine que les pourfendeurs de liberté hurlent en faveur de leur propre liberté d’expression, j’ai le droit et le devoir de m’insurger avec les mots les plus durs devant cette ironie du diktat.
Ils ne viennent pas vous carresser les pieds mais alimenter leur propagande nauséeuse en se servant de vous et votre article leur sert d’absolution. Je n’ai nulle contrition à avoir envers ces gens, aucun respect envers leur dire, et je ne m’abaisserai à aucune pitié pour les émules de tortionnaires, d’assassins et de génocidaires.
J’ai appris depuis longtemps qu’ils usent et abusent de ce qu’ils combattent, et comme ce fut dit par le passé la meilleure des armes est celle prise à l’ennemi.
Ils sont les ennemis du droit, de la liberté de l’humanité, je ne leur reconnais aucun droit, aucune liberté, aucune humanité.
A vous de savoir quel est votre camps, soyez plus courageux que le modem que vous chérissez et qui sait uniquement naviguer le cul entre deux chaises.