Sans compter que je ne vois pas du tout ce que de tels nartics pour passionnés de l’aviation ont à bouiner sur un site de « journalisme citoyen ».
Oh vous savez, c’est comme les gens qui viennent vous parler tous les jours de leurs anciens amour comme Soral : on en a rien à cirer, dans un site démocratique, vu que le gus il en a rien à cirer de la démocratie et ne parle que de son ego. Bref, Cécile la Comique, vous avez gagné encore une fois l’occasion de vous taire.
Tout le monde a pris conscience ici de votre but et de vos interventions : elles consistent en priorité à vouloir me faire taire, avec des moyens tels que des cabales organisées, des propositions de boycott, ou des attaques personnelles ou sur ma famille. Vous en êtes ici l’organisatrice, cela tout le monde a pu s’en rendre compte.
Comme tout le monde a pu se rendre compte de votre admiration sans bornes pour Soral devenue subitement haine féroce quand vous vous êtes aperçue qu’il était antisémite, mot que vous ne savez visiblement pas utiliser. Vous avez écrit hier qu’Elisabeth Levy était intelligente : elle vient de
signer ceci, et j
e suis bien forcé d’en conclure qu’en ce cas vous soutenez Zemmour. Alors laissez donc les « pitbulls » de Madame Levy s’exprimer, je vous prie : ils
sont là pour lutter contre votre islamophobie maladive qui vous conduit de faire des musulmans de nouveaux ostracisés, comme on a pu le faire en 40 en France avec les juifs. Mais de cela vous êtes incapable de vous rendre compte, perdue dans ce qui est bien ici des règlements de compte personnels, ceux d’une personne ayant subie des violences et étant allée les raconter partout sur le net. Dites vous bien, la Comique, qu’on n’est pas ici sur le divan de Chapier, et que ce site n’a pas à subir les assauts réguliers de votre folie islamophobe : vous créez la haine, Cécile D, vous l’attisez et vous l’entretenez. Inutile de rappeler les noms de votre gang, ici. Ce sont toujours les mêmes. Vous êtes fort mal placée, donc, pour venir nous causer ici de ce qu’on doit écrire ou pas. Je n’ai pas d’ordre à recevoir ici de votre part. Et pas non plus à faire l’apologie d’un petit Mussolini tel qu’Avigdor Lieberman.