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Commentaire de morice

sur Lynchage médiatique : Quand les passions prennent le pas sur les fait


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morice morice 27 mars 2010 11:13

« un type bien » : je rêve là... le mec fait tout pour couvrir tant que ce peut des actes pédophiles et c’est un type bien ? Encore deux lignes et vous allez nous trouver Dutroux smpathique, à ce rythme. Les preuves existent et les témoignages aussi. Abonnez-vous au New York Times avant de venir défendre l’indéfendable. Ou abonnez vous à Golias. La religion est une idôlatrie : vous le prouvez amplement par cette défense puérile d’actes immondes.


http://www.golias.fr/
« Dès 1985, le père Thomas Doyle avait alerté les autorités de l’Eglise de l’ampleur du désastre. Il a été viré ! »

Morceaux choisis : « La cruelle destruction sexuelle, physique, émotive et spirituelle infligée à ces enfants n’était pas accidentelle. Elle était systématique ». Selon le Père Doyle, cet univers sadique d’institutions violentes et perverses a bel et bien été entretenu au sein de l’Eglise catholique romaine. Les horreurs infligées à ces enfants impuissants l’ont été par des personnes en théorie données à Dieu et se plaçant au service de l’humanité. « Il y a eu un abandon des valeurs fondamentales qui doivent donner vie à l’Eglise (...) Il y a quelque chose de profondément déviant dans l’Eglise catholique dans la mesure où l’on permet à un abus systématique et à une malhonnêteté foncière de coexister avec l’identité autoproclamée du règne de Dieu sur la terre ». Selon Thomas Doyle, qui plus est, « punir les responsables signifie ne pas voir la forêt derrière l’arbre. La culture cléricale doit être examinée et démantelée sans aucune crainte. Elle a causé trop de destruction et a tué trop d’âmes pour être encore tolérée par une autre génération ». C’est ce qui est en train de se faire en ce moment à la faveur d’une opinion publique au sein de l’Eglise qui libère sa parole.

Nombre de responsables dans l’Eglise catholique ont jugé ce rapport alarmiste et exagérant la situation.Et par voie de conséquence n’ont pas mis en application ses préconisations.Bref, les responsables de l’institution-Eglise, que ce soit aux Etats-Unis ou au Vatican où siégeait déjà le cardinal Josef Ratzinger comme préfet de la Congrégation pour la Foi, n’ont pas voulu entendre cette vérité embarrassant ni opérer un changement dans ses pratiques.

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