Commentaire de Michel Monette
sur De la société de surveillance à la société des surveillants
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Un autre commentaire a en effet relever le paradoxe d’une société statistiquement moins violente qui se sent néammoins moins en sécurité ! Peut-être cela est-il dû au fait que les liens sociaux sont de plus en plus lâches. Les gens sentent moins de solidité (entre autre familiale) autour d’eux et se sentent donc moins en sécurité. Il y a aussi, sans doute, l’effet loupe des médias.
Ce qui m’étonne le plus jusqu’à présent, c’est la disproportion des commentaires sur la surveillance vidéo par rapport aux autres dimensions de la société de surveillance. Pourtant notre visage est ce que nous avons de moins intime. Beau paradoxe ! À quoi servira de vouloir cacher son visage quand on sera suivi dans tous nos « déplacements » électroniques ?
Derniers commentaires
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10/01 01:35 - Roland
Celui qui est capable de sacrifier sa liberté pour avoir la sécurité, ne mérite ni la liberté (...)
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10/01 01:31 - Roland
Pour couper à tout contre argument, on nous assène par ailleurs« que celui qui n’a rien à (...)
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04/01 12:07 - beurk !
finalement la tôle c’est mieux !on y annonce les couleurs ! aujourd’hui dehors (...)
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22/12 10:44 - Sylvain Etiret
C’était comment, déjà, cette phrase qu’on lisait sur les murs en 68 ? « Nous ne (...)
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17/12 19:51 - Citoyen ordinaire
Tout ceci ne sert qu’a plumer les petits pigeons effrayés qui se laissent trousser par (...)
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17/12 19:45 - Citoyen ordinaire
Les fauchés, les petits, les citoyens lamdas sont une source de richesse extraordinaire. (...)
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