Excusez-moi, Mesdames de me mêler non sans goujaterie à votre discussion, et j’ajoute ma remarque (indignée) à la vôtre quant aux plaisanteries peu raffinées qui fleurissent sur ce site...
Mais l’humour, même le plus mauvais, le plus graveleux, le plus caractéristique des vestaires ou des salles de garde, qu’il émane d’un homme ou d’une femme (oui, c’est vrai, c’est plus souvent le fait des hommes) n’est-il pas l’expression d’une réponse incertaine aux éternelles questions existentielles qui nous taraudent depuis la nuit des temps, tous sexes confondus ?
La recherche d’un partenaire qui répond aux exigences de la survie, ou qui assure une vie matérielle , sexuelle, familiale, la meilleure possible, confortable et sûre, est-ce que ça n’était pas aussi la préoccupation majeure de nos ancêtres préhistoriques ? Que les colliers de coquillages et le noir de fumée aient été remplacés par des colliers en or et du rimmel, que la musculature imposante prometteuse d’aurochs frais ait fait place à la belle situation , les critères de séduction ne sont-ils pas restés un peu analogues ? Croyez-vous que les changements aient été aussi prodigieux dans nos têtes d’humains qu’ils l’ont été dans le domaine de la connaissance et des technologies ?
Je livre ces questions à votre perspicacité, que je sais grande, et me prosterne à vos pieds, une des partie du corps des femmes que je trouve extraordinairement séduisant