Le lobby des double-vitrages contre le lobby pétrolier. Quel choc de titan !
Qui vous dit que le débat au sein de la communauté scientifique n’est pas serein ? Vous le connaissez d’où, le débat scientifique ? Vous avez lu les publications, vous connaissez des gens dans le labos ou vous en faites parti ? Le problème, c’est qu’Allègre, Courtillot et quelques autres qui polluent le débat public ne devraient avoir rien à dire sur le sujet, puisqu’ils n’ont rien réussi à publier sur la question.
Ce qui a été publié par Courtillot n’a pas été validité par les comités de lecture des revues scientifiques (parce que très contestable), mais Courtillot a multiplié les conférences et les interviews pour défendre ses thèses. Il a reconnu ses erreurs devant le Collège de France et le CNRS mais continue à défendre ces idées devant les médias ! Plus faux-cul tu meurs ! Si c’est ça que vous appelez un débat scientifique, il n’est pas serein, effectivement, mais à qui la faute ?
Je ne vous blâme pas, mais vous avez une représentation de la réalité un peu biaisé par certains lobbies qui ont justement tout fait pour accréditer l’idée d’un débat scientifique, en le créant artificiellement dans les médias, alors qu’il y effectivement un très large consensus de ceux qui travaillent vraiment sur le sujet. J’ajoute que Allègre et Courtillot, géologues et géophysiciens, n’ont probablement pas grand chose à perdre dans ces polémiques s’ils envisagent de finir leur carrière dans le privé.
Allègre lorsqu’il était directeur du BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières) avait déjà été soupçonné de ne pas avoir été insensible à certains groupes de pression lors de certaines décision concernant les privatisations de certaines mines de métaux précieux que possédaient la france à l’étranger.
http://www.lexpress.fr/informations/soupcons-au-dessus-d-une-mine-d-or_634284.html
J’ajoute que les publications du GIEC prêtent facilement le flanc à la critique de part la nature même de cet organisme : le GIEC compile et vulgarise pour les chefs d’état et responsables gouvernementaux des publications scientifiques hautement techniques et complexes. D’où, effectivement, des approximations inévitables facilement « montés en épingle ».
Et pour finir, je ne crois pas que l’existence de pollutions locales (nappes phréatiques etc) remette en cause la prise en compte des problème d’environnement globaux. C’est l’ensemble de notre modèle économique qui est en cause dans tout les cas, d’où la multiplication des articles et des commentaires niant les faits ou brouillant les cartes postés par les membres de la Secte de la Main Invisible sur ce site et ailleurs.