Il ne s’agit pas d’une critique, il s’agit d’une observation objective de faits.
Démonstration de l’outil politique de conquête qu’est le libéralisme.
Il faut contrôler les secteurs clés d’une société ( alimentation, armement, santé,...). Une fois ceci, les quelques entreprises tiendront un rôle équivalent à celui d’un ministère : le pays est conquis.
Quand la société est stable, cela se fait sur le long terme (depuis pompidou en fait ) avec l’aide d’autres instruments ( usure, argent dette, par exemple ).
Quand la société est en crise, on opère à des restructurations qui n’auraient jamais pu être mises en place dans un contexte « de paix ».
Par ce fait, au lieu d’attendre la crise (économique, environnementale, sociale, culturelle, qu’importe ), il faut parfois la créer. Tout les leviers sont à disposition pour engendrer des crises économiques, et donc sociales, et culturelles. Les crises environnementales ? Un rapport de l’UE sur la technologie liée à HAARP stipule que cela est dorénavant possible (manipulation du climat). Les technocrates de l’UE s’en sont inquiété, craignant hégémonie US ( parce que dans la tête de certains boulons de l’UE, ils croient encore avoir pour vocation être un bloc indépendant...).
Le libéralisme est le bras du pouvoir impérial.
Friedman en est un des gourous.
Le niais jugeant le liberalisme économique par l’emotionnel « c’est bien je peux consommer ce que je veux quand je veux, et puis dans liberalisme, il y a liberté ! », est le lambda piégé par une reflexion sans hauteur et unidimensionnelle,