Philippe,
je passe un peu sur vos insultes et autres invectives. Pour répondre à ces outrances langagières et à votre irrespect envers ma personne, je dirai simplement que « tout ce qui est excessif est insignifiant ».
Concernant le fond, j’ai le regret de vous dire que vous n’avez pas lu ou compris ce que je veux dire dans cet article. Du reste, qualifier un tel ou tel autre d’Hitler, d’ayatollah de ceci ou de cela, de Stalinien, c’est tout à fait la technique de Le Pen comme de Zemmour. Qu’on leur fasse ce qu’ils aiment faire aux autres n’est que justice. Et par conséquent, j’en ai que faire de vos cris d’orfraie et vos vociférations stériles.
Concernant ma formation philosophique, votre jugement à l’emporte-pièce est à lui seul un signe à la fois de votre manque de modestie et de votre petitesse. Un de mes professeurs disait un jour que le malheur de notre époque vient du fait que c’est l’obscurité qui ambitionne d’éclairer la lumière et non l’inverse. Le sophiste dans l’affaire c’est sans doute plus vous que moi ; car je prétends argumenter dans mon article et vous vous contentez de m’invectiver.
Heureusement qu’il n’y a pas que des esprits obstrués et réfractaires à plus de connaissances su Agoravox. Vous devriez lire certains commentaires pour prendre de la hauteur et peut-être qui sait comprendre l’article et goûter un peu aux délices d’un débat contradictoire civilisé.
Au demeurant je ne vous en veux pas, je vous plains.
L’auteur.