Philou,
Là, vous m’avez amusé
sur plusieurs phrases et plusieurs arguments.
Vous idéalisez les
journalistes ou vous tentez d’idéaliser les hommes ?
Je commence à me le demander.
Je l’ai dit mais vous ne l’avez lu
qu’à moitié. Je répète donc : TOUT DEPEND
DU POGNON QU’ON MET SUR LA TABLE.
Vous vous croyez un dieu de la
sagesse, bien au dessus de cela ?
Pourquoi n’y allez-vous pas casser la
baraque ?
Mélanchon le dit d’ailleurs à
demi-mots.
Les journalistes sont tout autant
tenu par les c... que lorsque vous allez travailler tous les jours.
Ils doivent rapporter des images, des
textes pour gagner leur croute, qui sera oui ou non agrémenté
d’une pitance un peu ou plus chère que l’autre.
Les mécanismes ne fonctionnent
plus depuis longtemps.
La théorie n’est là que
comme garde fous.
Pourquoi les journalistes doivent
rester en phase avec les téléspectateurs ?
Bonne question. Mauvaise réponse
: parce que sinon ils sont virés.
En écrivant ici, vous ne
risquez pas beaucoup. Même pas un procès. Un repliage
tout au plus.
Le pouvoir financier sera toujours là
pour vérifier ce qui ne leur plaira pas ou qui n’aura pas le
rendement requis à la production.
Vous parlez des pays occidentaux.
Bien. Connaissez vous les télévisions en Asie ?
Passons les en revue : Inde, Chine,
Thailande, Birmanie.
Dans un but ? Non, plusieurs.
Pour rester place, pour profiter du
pouvoir, pour ....
Le bifton est le même,
seulement la manière de l’assaisonner est différent.
Je crois que vous oubliez que j’ai très probablement quelques piges en plus que vous, pour ne pas avoir perdu de vue les règles.
Me suis-je mieux fait comprendre ?
Bonne soirée et à mardi, car le spectacle continue.
The show must go on....
