Mais qu’il faille agir dans le sens de la décroissance ne fait aucun doute. Une croissance exponentielle est impossible dans un monde fini.
Mais il faut arrêter avec le délire réchauffiste bordel ! Le climat de la terre n’a jamais cessé d’évoluer au cours de son histoire en des cycles longs constitués de cycles moyens eux-même constitués de cycle courts...
La planète se réchauffe, oui, c’est la vérité, je veux bien croire le GIEC, mais il est incapable de nous dire dans quel cycle nous sommes ni dans quelle phase de ce cycle.
Ce qui est présomptueux de la part du GIEC c’est de dire que l’homme est responsable de ce réchauffement sur le simple constat d’une corrélation entre la densité de CO2 dans l’atmosphère et l’histoire des période de réchauffement terrestre alors que malgré tous nos gaspillages d’énergie fossile nous ne produisons pas en un siècle ce que le soleil envoie en un an sur la planète.
Ce qui grave c’est que les pouvoirs se servent de cette doctrine scientifique pour imposer des taxes carbone ou des marchés de droit à polluer mais qu’à aucun moment le crédo de la croissance n’est mis en cause.
Pendant qu’on est là à s’engueuler sur les causes du réchauffement alors qu’honnêtement je ne nous crois pas encore capable de les déterminer, on continue à saccager inconsidérément la planète et à détruire les variétés de vie qui s’y trouve pour le profit morbide d’un nombre réduits d’humains.
Quand les scientifiques ouvriront leurs grandes gueules pour nous parler d’autres choses que de météo et qu’ils monteront enfin au créneau pour dénoncer et prouver les dérives et les saccages que le productivisme génère, alors ils commenceront à être pris réellement au sérieux.
S’ils pouvaient mettre autant d’énergie à dénoncer toutes les formes de pollutions, la disparition accélérée des espèces, etc... qu’ils n’en mettent à dénoncer leurs contradicteurs comme s’il s’agissait de leur amour propre, alors on pourra commencer à les prendre au sérieux.