La violence n’est justifiée que dans des cas exceptionnels, en légitime défense, en situation de danger et que la riposte soit proprtionnée ; dire que la violence est un acte de désespoir est irrésponsable. d’ailleurs dans notre droit, il n’est jamais admis un acte de violence dans les rapports entre les gens et est réprimé pénalement, à commencer par l’insulte.
Ramener tout à une analyse psychologique, sociale voire économique, c’est considéré l’agresseur comme irrésponsable ou du moins minimisé son acte violent. Par là on évacue trop facilement sa responsabilité individuelle sur laquelle est fondé notre droit ; en contrepartie de cela, on fragilise les rapports des citoyens dans la société.
La conséquence en est une détoriorisation de l’éducation nationale comme service public.
On excuse la paresse, le mépris et maintenant la violence. D’ailleurs un discours contradictoire avec la politique sécuritaire du gouvernement.
Par contre la violence légitime de certains syndicalistes, elle est même durement réprimée, également celle des lycéens qui ont été condamnés à la suite de manifestations contre Pecresse.
De plus en plus de lois sont liberticides et personne ne réagit, par contre, il ne faut rien faire face à des enfants et des adolescents en construction, pas de cadre, c’est le moyen idéal pour en faire de future délinquants qui donneront du grain à moudre à une politique de plus en plus répréssive et libérale. L’une n’est nullement antinomique à l’autre