Kiri a tout à fait raison.
Les technologies regroupées sur le terme de web2 existait depuis 98.
(J’ai vu un type sur slashdot qui a codé son chat avec xmlHttp (oui , oui, la fonction de Microsoft qui donne toutes ses lettres de « noblesse » au web2) dès 98.
Rien de nouveau sous le soleil, sauf que le terme web2 popularise Ajax qui est l’INVERSE du web sémantique (qui lui méritera son buzz word).
Regardez une source d’un site « web2 » ! Et sans parler de l’indexation ...
Le web3 serait plutôt Xul (du moins j’espère) ou encore le débridage de l’upload.
Ajax c’est pratique mais reste une bidouille de programmeur pour exploiter a fond un protocole (http) stateless (wikipedia) qui n’y est pas adapté. C’est aussi la fin du contrôle des données téléchargée (par exemple : historique, ...).
C’est aussi profiter de montée des perf du client (navigateur) pour surcharger le code.
ça reste juste pratique, standardisé (flashcapuecpaslibre) en attendant mieux.
D’ailleurs Java (bientôt intégralement sous gpl) ou php, ou même les cgi en perl/shellscript mériteraient-il une « nouvelle version du web » bien que leur potentiels soit bien plus important qu’« »« ajax&rss »« ».
La réalité du web2, je pense aussi qu’elle provient plus de la démocratisation du net plutôt qu’un réel synonyme d’évolution technologique...
En gros, les conseillers en com s’en mèlent et voilà ...
Ipv6, internet2, ... je veux bien. Mais dailymotion, googlemaps, ... c’était possible dès 98, mais exploitable qu’avec les débits actuels.
Amha, le web2 se rapproche plus d’un pourcentage X de la population abonné a l’adsl :) permettant à certaines techno de se développer.
Comment ça c’est déjà mal vu de contester la cohérence des termes marketing ?
Je sais pas ce qui est passé par la tête de Tim O’Reilly, mais vu comment c’est parti, on a pas fini de se faire de se faire bassiner par ce genre de termes inconsistants...
(^^ sans aucune animosité envers l’auteur, évidemment :))