C’ est donc le deuxième article sur la Franc-Maçonnerie aujourd’hui.
Concernant la sémantique : « rien... ne réduisait l’obédience à un caractère exclusivement féminin » je suppose qu’il s’agit d’un lapsus (signifiant ?) Quand au vote paradoxal, le mot est faible ! Ça ressemble beaucoup aux circonvolutions acrobatiques de certaines prises de position de l’Église que le Grand Orient a souvent combattu...
Vote circonstanciel : l’auteur pourrait-il nous en dire plus sur ces circonstances ? Le fait d’intégrer les femmes au nom de l’universalité, il était temps quand même. Je ne vois pas comment on peut prétendre à l’universalité en laissant à la porte la moitié de l’humanité...
Rattraper la société ? J’avais toujours crû que c’était les Frères qui étaient en avance sur elle et pas le contraire. Quand à passer directement à l’universalité, j’avais également crû comprendre que l’universalité était au départ un des pilier principaux, sinon le principal, de la Franc-Maçonnerie. Alors, illusions de ma part ou simple déclaration d’intention ?
Il est vrai que du temps de Désaguliers (XVIIème siècle) les femmes étaient considérées comme possibles perturbatrices, de par leur simple présence, dans le travail des Loges. On aurait pu espérer que l’évolution se fasse un peu plus rapidement...