bonjour aurélien
s’il n’était pas amusant ton article il en serait désespérant en tout états de cause il fait la démonstration des approches idéologiques de la création de richesse et de la circulation de la monnaie. cela démontre au moins l’ignorance citoyenne en cette chose.(je ne parle pas de toi en l’espèce
le montant de l’impôt n’est que la même chose que l’argent qu’on dépense pour t’assurer, se protéger de toutes choses, de financer les associations que tu veux.
la différence entre l’un et l’autre, c’est que l’impôt est redistribué dans le pays, tandis que les mêmes sommes que l’on dépense pour des services privés, financent par nos cotisations, leur création de capital incluant les dividendes des actionnaires, et vont aussi s’investir là où cela est le plus lucratif, tandis que les prestations que tu reçois ce sont les autres cotisants nous. te les finances. ainsi plus les cotisations servent dans la cas du privé à la formation du capital, plus ses prestations coutent chères.
enfin l’impôt c’est un discours dogmatique, il ne représente que 14% si mes souvenirs son bons des recettes de l’État.
bref j’en reste là.
le plus amusant et d’entendre qu’augmenter les salaires fait fuir les entreprises, augmenter les prélèvement réduit la compétitivité, l’impôt fait fuir les capitaux.
il ne serait pas plus simple de dire que la prospérité des populations moyenne et pauvre empêche les riche de l’être plus, et que s’il pouvaient avoir l’intelligence de travailler gratuitement, la formation du capital n’en serait que meilleure pour financer leurs obsèques et privilégier la natalité pour pouvoir a leur remplacement.
je vais te faire plaisir l’on peut avoir une société sans impôt, mais cela demande de devenir des hommes civilisés ce que nous ne sommes pas car nous privilégions toujours les lois naturelles, celle de l’un qui domine l’autre.
cordialement.