Ce que les intermittents devraient comprendre :
- Les intermittents ne sont pas le centre du Monde mais ce sont des citoyens ni plus ni moins.
D’autre causes à subventionner par le contribuable
sont également ESSENTIELLES à l’avenir de la société :
l’agriculture, l’environnement, les banlieues, la
prévention de la délinquance et du terrorisme,
l’éducation nationale , la santé publique etc
- c’est aux sociétés du spectacle (publiques ou
privées )de financer elles-même INTEGRALEMENT les
intermittents et donc les payer PLUS CHER pour qu’ils
puissent avoir des rémunérations décentes et lisser
leurs revenus sur l’année. Prévoir un système
obligatoire des revenus mensualisés pour éviter le
comportement CIGALE de l’artiste. Le salarié, déjà mal
en point, n’a pas à financer les artistes ou les
techniciens du spectacle et en plus à recevoir, en
contre partie, ces éternelles leçons de morales culpabilisantes sur la mondialisation, la société ou que sais-je encore.
- L’argument « exception culturelle française » est nul !
Les productions artistiques françaises ne sont pas à
la hauteur des moyens engagés par les cotisations des
salariés. D’ou mon (notre ?) refus de payer plus longtemps pour des résultats si médiocres dans l’ensemble. Refus de payer pour la soupe proposée par la Star Académie et les
intermittences des nominés des Cesar, Refus de payer pour les productions merdiques et subventionnées de l’ «
artiste-maudit-victime-de-la-société-néolibérale-et
- du-medef »
- Enfin avis aux artistes ou techniciens : vous avez
choisi une voie très difficile il faut l’admettre. Attitude parfois noble et courageuse, souvent irresponsable et branchouille.
Certain d’entre vous avez un réel talent, une force de
travail et une vraie sensibilité artistique, vous
réussirez d’une façon ou d’une autre ; d’autre très
nombreux par bovarysme, par midinetterie ,
même si vous êtes persuadés d’être des artistes, vous
ne l’êtes de toute évidence pas. Faites un autre
métier. De toute façon vous n’aurez plus le choix.
Dans sa version commerciale ou subventionnée, la
production française est trop mauvaise.