Cette dispersion de voix de gauche est un fait universel. Dès qu’il y a possibilité de représenter le peuple, et surtout de vivre sur son compte, sur ses espoirs, ils sont des centaines à se bousculer au portillon. Tous à dire qu’eux seuls ont raison, tous à disperser leur énergie à contrer leurs concurrents. Ceci tient au caractère dogmatique des leaders. D’où qu’ils viennent, quels qu’ils soient. Le pouvoir pour le pouvoir. Le pouvoir pour moi et ensuite j’éliminerai mes concurrents, ceux qui pensent presque comme moi.
Et pendant ce temps, la droite se marre. Comme en Tunisie par exemple...
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