D’après Clea villistia veut lutter contre l’islamophobie exagérée , exagérée je comprends pas déjà !
Mais bon si elle aime celà elle va pouvoir répondre à cà :
Lettre ouverte en réponse au Président du MRAP
Monsieur,
> > > > > > > > > Vous avez organisé
récemment, en tant que président du MRAP, un colloque à l’Assemblée
nationale intitulé "Du racisme anti-arabe à
l’islamophobie". Vous y avez dénoncé, en France, « les mosquées
souillées, les discriminations à l’emploi et au logement, les appels
au meurtre, les violences et agressions à l’endroit des populations et
des lieux de culte musulmans. Vous avez montré du doigt l’impunité
dont bénéficient les auteurs de ces délits, appelant à « un réveil de
l’opinion publique, un sursaut des institutions (Police, Justice,
Education nationale, etc.), une mobilisation des grandes consciences
intellectuelles.
Vous avez raison ! De plus en plus de Français sont racistes. De plus
en plus en ont par-dessus la tête de ce qu’ils appellent (à tort)
l’invasion islamo-maghrébine. De cet afflux de populations
inassimilables qu’ils croient (à tort) être le ressort principal de la
délinquance et de la criminalité. De plus en plus sont épouvantés (à
tort) par l’afflux de populations qui, ayant chassé l’occupant raciste
des territoires qu’il exploitait, ont rendu ces terres à l’heureux
état de nature mais sont contraintes de chercher, auprès de l’ancien
colonisateur raciste, les remèdes à la misère provoquée par la
décolonisation.
De plus en plus de racistes ont (à tort) des idées de violence en
entendant sur les radios les poésies du groupe afro-maghrébin Sniper
qui chante, par exemple : « La France nous ronge, le seul moyen de se
faire entendre est de brûler des voitures. La France est une garce. On
nique la France. »
Oui, Monsieur Aounit, la triste vérité est là : les racistes
n’entendent rien à la rude poésie des cités et ils en ont par-dessus
la tête d’entendre des hexagonoïdes chanter qu’ils niquent la France,
et qu’ils baisent leurs mères.
C’est sûr qu’il y a quelque racisme à ne pas accepter ces coutumes de
baiser notre mère et de niquer notre pays, mais c’est ainsi, Monsieur
Aounit : les racistes ne sont pas tolérants.
Et ils ont tort. Vous avez raison !
Mais comment ces petits blancs arriérés seraient-ils assez évolués,
ouverts, libéraux et modernes pour accepter que des populations qu’ils
ont accueillies, nourries, soignées et enseignées leur crachent leur
haine et leur mépris à la figure ?
Vous faites bien de dénoncer ce racisme-là en France dans la Chambre
des députés de cette République qui vous a fait tant de mal.. La
dignité de l’endroit ajoute à la force de votre réquisitoire. Mais
vous feriez mieux encore en allant le prononcer là-bas, au bled.
C’est sur place, chez eux, alors qu’ils sont encore libres, qu’il faut
alerter les milliers d’Afro-musulmans et d’islamo-maghrébins qui
s’apprêtent à céder au mirage du RMI, de la Sécu, des allocs, et à
basculer dans le piège affreux que leur tendent les racistes français.
Monsieur Aounit, dites-le à vos frères, à vos cousins, à vos femmes, à
vos enfants, à vos voisins, à tous ceux du bled et de la brousse : la
France raciste ne veut pas d’eux parce que dans son aveuglement
raciste, elle les regarde (à tort) comme des envahisseurs et des
prédateurs.
Dites simplement cette sinistre vérité aux vôtres Monsieur Aounit.
Ne les laissez pas se jeter dans la gueule du loup. Il est de votre
devoir de protéger ces malheureux contre cette effrayante menace. Les
laisser venir, serait se rendre coupable de non-assistance à personnes
en danger.
D’ailleurs vous-même, Monsieur Aounit, vous et tous ceux qui comme
vous, êtes condamnés à vivre dans cet abominable pays raciste,
n’hésitez pas : brisez vos chaînes, secouez la poussière de vos
sandales et quittez cet enfer.
Ne faites pas plus longtemps aux racistes le cadeau de votre
enrichissante présence.
Ne soyez plus le gibier de ces chasseurs impitoyables qui attaquent
vos mères dans le métro, violent vos filles dans les caves, pillent
vos supermarchés, brûlent vos voitures dans vos cités, vendent de la
drogue à vos enfants. Ne leur laissez aucun homme à discriminer,
aucune femme à insulter, aucun enfant à battre, aucune mosquée à
souiller.
N’hésitez pas : vengez toutes ces années de terreur, de souffrance,
d’humiliation, d’exploitation qu’ils vous ont infligées : privez-les
de la chance que vous représentez.
Et puis, pourquoi vous gêner ? En partant, emmenez vos amis. Les
grandes consciences intellectuelles, les militants immigrationnistes,
les journalistes amis, les dirigeants socialistes, communistes,
trotskistes et autres.
D’abord cela leur épargnera l’insupportable peine de vivre sans vous,
ensuite cela privera la France raciste de la formidable force
intellectuelle qui fait son rayonnement dans le monde entier. Ils
seront bien punis, les racistes !
Songez-y, Monsieur Aounit : ils auront l’air de quoi les Le Pen, les
Gollnisch, les militants du FN et les électeurs de tout ce monde
quand, le dernier bateau ayant franchi la ligne d’horizon, l’ultime
avion s’étant évanoui dans l’azur, la dernière camionnette étant
passée de l’autre côté de la frontière, ils découvriront qu’ils sont
désormais entre eux ?
Entre racistes.
Tout seuls.
Ah, on voudrait voir ça ! Rien que pour le plaisir.
Cette lettre circulait par EMail dans un petit circuit, maintenant
osons la diffuser largement.
Cordialement