• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Arunah

sur Tahar ben Jelloun ou comment un « intellectuel » maghrébin fausse le discours sur l'immigration


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Arunah Arunah 23 avril 2010 17:45

Il est quelque part réconfortant de constater que ces racailles sont aussi toxiques chez elles que dans les banlieues françaises... et là on ne pourra pas blâmer les cité-dortoirs mais bien les imams...

www.wluml.org/fr site du réseau Femmes vivant sous la loi musulmane sur les attaques de femmes à Hassi Messaoud.

Oui, c’est vrai les banlieues ( du 9-3 ) sont moches et les barres d’HLM encore plus... et puis, c’est tellement plus romantique de croupir dans des bidonvilles sur des terrains non viabilisés... pas d’écoles, la joie ! pas de dispensaires, youpi ! pas de piqûre !
Il est vrai que la société française a perdu le sens de la fête en imposant l’instruction et son corollaire, l’école jusqu’à seize ans, en donnant un accès illimité à des soins de qualité dans des hôpitaux ouverts à tous, en fournissant des logements sociaux dotés du confort moderne, des transports à des prix subventionnés ( que nos banlieusards aillent prendre le métro à Londres, ils comprendront vite ce qu’est un moyen de transport public non subventionné... ), en comparaison avec une bonne partie de la planète, nos banlieues sont un paradis... et c’est ce que me disent tous mes amis étrangers originaires de pays moins chanceux que le nôtre.

Je rejoins la proposition d’Armand. Puisque l’heure est à la délocalisation, Cayenne finalement...

Par pure charité chrétienne et par égard pour les talents de conteur de Tahar Ben Jelloun, j’adopterai comme hypothèse qu’il ne peut avoir une opinion critique sur ses compatriotes ( maghrébins ) car sa famille restée au pays pourrait être mise en danger. Les écrivains musulmans critiques de l’islam sont ou morts ou sous la protection de la police, ce qui peut inciter à quelque prudence. Et les frères ne reculent pas devant l’intimidation de ceux qui ne sont pas dans la ligne.
Ceci, bien entendu ne concerne pas les écrivains européens qui, eux, n’ont même pas l’excuse de vouloir se faire réélire... et bien sûr ne risquent nullement de perdre des lecteurs puisque ces populations-là n’achètent pas de livres. 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès