bonjour élodie
bon courage, il me semble que tu abordes un sujet aussi important par justement une rationalité culturelle qui l’habite, dans d’autres cultures tu ne poserais même pas ces questions là. savoir déjà pourquoi l’on se pose ces questions est détenir une part de la réponse, même si elle est petite.
l’on ne choisis jamais la désobéissance, comme l’on ne choisit pas d’être différent de sa famille.
il faut seulement analyser les événements qui se sont cumulés pour aboutir au résultat constater nous convenir. cette capacité là relève de l’impossible, car l’on e peut être dans son analyse mémorielle et vivre le présent en construisant le futur mémoriel espéré.
notre non conscient fait tout cela pour nous à la vitesse de millisecondes qui nous sont imperceptibles et la part consciente qui nous reste est bien maigrichonne.
pour tant l’on doit s’en contenter.
notre monde est le monde du verbe qui traduit imparfaitement tout notre non conscient émotionnel..
c’est pour cela que tout ce que nous pensons est en puissance d’être, mais pas forcément sous l’aspect verbal dont nous donnons la traduction, car le mot est castrateur, et sur une échelle de zéro à l’infini, il tient pour chaque être qui le prononce une place différente.
notre existence est faite d’un déterminisme aléatoire, l’obéissance et son contraire ne sont que des adaptateurs aux événements environnementaux.
je te joins deux articles
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=67081
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=71838
cordialement.