c’est bizarre, je ne lis votre citation de la même façon que vous ?Vous écrivez...
L’éolien est un vecteur indispensable à l’atteinte de l’objectif des 21% d’EnR dans la mesure où les possibilités offertes par le thermique EnR et l’hydraulique sont limitées.
Effectivement,les industriels ne sont pas demandeurs, mais il leur est faite une obligation de 21 % de renouvelable, non pas qu’il y aie une impérieuse nécessité quelconque( cela fait plus d’un siècle qu’ils savent faire),mais par une volonté purement politique.A partir de là,et suivant les possibilités du terrain, ils s’adaptent(la Norvège fait 90 % d’hydraulique,par contre, la Belgique petit pays surpeuplé voit s’ériger de jolies éoliennes jusque dans les jardins)
Le taux de puissance substituée (rapport de la puissance thermique à la puissance éolienne installée) est voisin du facteur de charge moyen des éoliennes en hiver(environ 30%) ,pour un parc éolien de faible puissance (quelques GW) "
Au mieux, et dans la mesure où les éoliennes débitent en heure de pointe,on pourra compter sur 30 % de la puissance installée,qui viendront se substituer à une source conventionnelle(qui ne sera pas arrêtée pour.autantEffectivement, belle performance .
Avez-vous une idée des quantités de courant acheté au prix fort quand les éoliennes tournent en heure creuse ?Car que je sache, les éoliennes ne débitent pas de préférence en heure de pointe.
J’avais vu un rapport de RTE,que je ne trouve plus qui montrait l’évolution des productions,où l’on voyait la production de renouvelable monter en puissance... DE 1 % et dans le même temps la production nucléaire baisser de .... 1 %
Je vous remets le lien suivant,
on y explique que la stabilité d’un réseau ne peut pas supporter plus de 20 % d’éolien.Ne cherchez pas d’autres raisons à ce que les Allemands se soient remis à construire des centrales à charbon