@ Manuel Atreide
Merci de votre commentaire qui porte sur trois points.
1- Vous n’êtes pas d’accord avec ma lecture de cette affiche. C’est votre droit. Il reste que vous ne procédez pas à une analyse de l’affiche mais à une sorte de profession de foi. Nous ne nous plaçons pas sur le même terrain. La seule question que pose cette publicité est de savoir si on peut user des moyens publicitaires pour promouvoir ce qui ne se vend pas.
2- Vous vous plaignez de mon lexique. Les mots comme métonymie, intericonicité et leurres d’appel sexuel ou humanitaire vous rebutent.
Le nombre d’exemples où je les emploie, en éclaire pourtant l’usage pour peu qu’on se donne la peine de lire mes articles. Je ne sache pas qu’on puisse analyser une information sans un minimum d’outils précis. Ceux que j’emploie sont très simples et pourtant fort méconnus. Qu’y puis-je ? Ceux que ça rebute, sont-ils obligés de me lire ? Il y a tant à lire sur AgoraVox et ailleurs. En tout cas, je crois savoir qu’il y a des lecteurs qui apprécient. Dois-je donc les ignorer ? Je n’oblige personne à lire mes articles !
3- Vous m’imputez enfin une responsabilité dans le harcèlement dont je suis l’objet depuis des mois de la part d’individus qui ne cessent pas de dire que mes articles ne les intéressent pas mais qui n’en manquent aucun pour venir l’écrire de façon répétitive ad nauseam.
Vous ne vous posez pas la question de savoir pourquoi cette poignée d’individus agit de la sorte.
J’en prends acte. Vous estimez donc normal, comme relevant de la liberté d’expression de pareils agissements qui visent à la censure de rédacteurs et à la destruction du site AgoraVox. Nous ne partageons donc pas la même conception de la liberté d’expression. Paul Villach