L’auteur oublie que Polanski a commencé par nier, ce qui est toujours sympa pour la victime... Il n’a avoué qu’en échange de l’abandon des poursuites pour viol.
Et il n’a apparemment pas pris conscience de la gravité de son acte, il semble qu’il trouve hypocrite qu’on lui reproche quelque chose à ce sujet. Donc sa conscience ne va pas trop le faire souffrir, je rassure l’auteur...
Par ailleurs il se pourrait que la qualification de sodomie ne soit due qu’à un manque de « case » dans l’abus sexuel, en clair il lui est peut-être seulement reproché de lui avoir spermé dans la bouche. Ce qui est, vous en conviendrez sûrement, cher auteur, une façon sympathique de faire découvrir la vie à une jeune ado, même s’il faut la droguer et la souler un peu pour arriver à la forcer à le faire...
De toute manière c’est à la justice de juger. Le scandale est dans les défenseurs de la justice à deux vitesses. A ce sujet merci à l’auteur de préciser les nouvelles règles de droit qu’il souhaite proposer aux parlementaires : faut-il un minimum de films à succès, un minimum de revenu mensuel, ou un minimum de patrimoine (indiquer le montant exact), pour bénéficier d’un passe-droit judiciaire ?
Ou alors avoir fait un minimum de télé ? Ou suffit-il d’être un copain de BHL et de Mitterrand ?
Ce dernier, ainsi que Pascal Sevran, seront très intéressés de connaître les règles exactes que vous proposez. En effet ils pourront ainsi peut-être en bénéficier.