Pas d’accord.
On ne peut pas être aussi approximatif sur des sujets aussi importants.
L’approximation ne peut qu’entraîner la dérive vers l’à peu près et discréditer les études d’impact sur l’environnement. Vous devez être rationnel : Y=ax+b 8-))
Si un enfant de 12 ans peut comprendre que le sujet n’est pas fiable alors vous pensez bien qu’un ingénieur et/ou spécialiste de la communication d’un industriel n’aura aucun mal à vous discréditer.
A force de dire n’imorte quoi ...
A force de crier au loup ...
Un jour le loup arrive, la catastrophe se passe et plus personne n’y croit.
C’est le problème de l’information actuellement qui ne vérifie pas ses sources, ses propres fondements, fait du copier/coller sans rien y comprendre.
Un vague chercheur méconnu en France pour le grand public, a été étonné, de mesurer moins de lumière, énergie, infra rouge ? on se sait pas. Où ? Pourquoi ?
Des exemples extrèmes sont donnés.
Des conclusions hésitantes, non expliquées, imprécises.
Bref on n’y comprends rien
En outre :
Je soutiens que l’on n’y comprend rien à rien aujourd’hui.
On comprend difficilement les jet streams, les courants marins, les inclinaisons du pôle magnétique etc ...
On ne fait pour l’heure que CONSTATER que ces éléments jouent un rôle.
Pour la température c’est faux : les carottes glaciaires explique (en partie pour les composants piégés, mais il y en a tant d’autres) la composition de l’air des périodes glaciaires mais non la température de l’époque.
Une carotte ne veut pas dire qu’une autre couche n’a pas fondu dans l’intervalle...
Le brassage de l’aire est à prendre en compte ...
Même si l’on sait que certains éléments seront piégés de façon préférentiels à une température donnée.
A moins que Météo France n’ait placé une sonde de température depuis la crétion de la terre et ait fait une moyenne ...
Alors les 12 °C me font bien marrer ...