salut lisa

nous avons la chance d’être des bêtes d’apprentissages. donc toutes nos lois sont des loi ’d’organicité et elle ne sont pas inaliénables. il est évident que nous sommes éduqués à la compétition, et que de manière sous sous-jacente il est important pour chacun d’entre nous, de se présenter comme le dominant, en utilisant justement toutes nos forme "d’organisité’ y compris celle que tu soulève ou chacun veut devenir le riche à la place du riche et se montre solidaire des tyrans en espérant que ses souffrances un jour seront récompensés.

c’est le problème de la pensé matérialiste, dans ce qu’elle a de plus atavique, mais nous disposons d’une capacité d’esprit qui peut parfaitement nous sortir d’un seul rapport de maitre a esclave, pour devenir une nouvelle forme d’organicité. la loi du marché n’est pas une loi naturelle, c’est une construction culturelle
.mais voilà l’homme évolue très lentement, aujourd’hui c’est la vitesse du aux moyens technologiques qui nous pose problème. et s’il y a une fracture sociale il y a aussi une fracture culturelle (de savoir) qui se creuse.

cette sous culture qui se développe nous apportera l’aliénation dans le futur, je ne sais pas a quoi, hormis ce qui est le plus évident, qui est une fascisation rampante qui se construit dessus aussi.
mais au delà, quand l’on sait que l’avenir se construit avec les événements que nous percevons et développons aujourd’hui et que restituera le non conscient, l’on ne peut pas espérer que de la sous culture sorte des traits de génies.
 reste donc ceux qui disposent du savoir, eux aussi subissent la rationalité des modèles mathématiques ou 1 et 1 font deux, alors que l’on sait qu’ils peuvent faire trois. ils ne nous offrirons que des sociétés déterministes et castratrice.
la frange d’hommes capables d’ouverture d’esprit humain conscient de ce puzzle, je ne sais pas où ils sont peut être dans la recherche fondamentale, toujours pas dans les partis car si il y a une innovation avec les verts ils restent trés rationaliste, à la mesure de la pensé qui les a construit.

cordialement.