"Je ne vous demande pas à vous d’étudier l’hypothèse B ; je
le demande au NIST.« : ça je l’avais bien compris. Mais pour demander une nouvelle enquête, il faut avancer des éléments nouveaux ou prouver que les anciens élémenst n’ont pas été correctement exploités en vue de la publication du rapport. Et ça, les truthers en sont incapables, malgré toute leur bonne volonté.
» Pas dit non plus qu’ils sachent reconnaître les pièces spécifiques
éventuellement laissées, surtout dans la mesure où les tours n’étaient
pas vides.« : Sauf qu’il n’y avait pas que des ouvriers. Il y avait aussi des enqueteurs. Comme de plus les débris sont restés en place 9 mois, comment expliquer qu’ aucun ouvrier truther n’ai été en capacité de trouver quoi que ce soit durant ce temps ?
Il n’y a toujours aucune explication officielle là-dessus. » : Bien sûr que si il y en a !
la sulfidation a été justifiée depuis longtemps : le soufre contenu dans le plâtre a très bien pu se combiner au métal après la chute et, sous l’effet des incendies, accelerer par réaction chimique la sulfuration du métal. Les sphères métalliques se forment à plus de 1000 degrés, mais le site a été « pollué » par des opérations de découpe à l’acétylène pour couper les poutres metalliques qui menaçaient de tomber sur les ouvriers. Les coulées de métal ? On ne sait pas exactement ce que c’est. Peut-être de l’aluminium, dont les tours, je le rappelle, en était garnies de partout. Ce métal fond à 600°, température compatible avec les feux qui ont ravagé les tours.
Si vous lisiez autre chose que « reopen », vous le sauriez depuis longtemps.