Les défenseurs de Polanski nous rabâchent sans cesse : « 30 ans après les faits ».
C’est juste, il s’est écoulé plus de 30 ans. Mais qui est responsable de cet état de fait ? Polanski lui-même, tout simplement. S’il avait eu, il y a 30 ans, les 2 sous de courage pour assumer son comportement devant un juge, il aurait payé sa faute et, très certainement, on n’en parlerait plus du tout (et ce serait bien ainsi, une faute payée doit être oubliée). Si maintenant on en parle, c’est uniquement à cause de son comportement de lâche qui croit que l’argent peut tout acheter et que faisant partie d’une « élite » (hum) tout lui est permis.
Sur le plan juridique, il n’est absolument pas inattaquable. Les crimes (ce que Polanski a fait est, juridiquement, un crime, pas un délit), de contrainte sexuelle, viol et relation sexuelle avec mineur sont imprescriptibles en droit US.
En ce qui concerne la justice suisse, elle n’a pas à se prononcer sur le fond. Elle doit simplement déterminer si les conditions juridiques d’une extradition sont remplies. Ce qui semble être le cas : les justice US respecte les droits de l’homme, Polanski ne peut pas être condamné aux USA à une peine supérieure à celle qu’il encourrait en Suisse (en Suisse, les crimes tournant autour de la pédophilie sont également imprescriptibles et peuvent être punis de la réclusion à vie).
17/05 19:14 - viva
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17/05 15:05 - impertinent3
Les défenseurs de Polanski nous rabâchent sans cesse : « 30 ans après les faits ». C’est (...)
17/05 14:04 - Massaliote
J’estimais Kundera. Peut être les méfaits de l’âge ? Défendre un prédateur qui a (...)
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