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Commentaire de morice

sur Affaire « Omar Raddad » : 45 minutes de vérités


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morice morice 22 mai 2010 14:03

« Un homme mène un combat depuis toutes ces années. Cet homme, c’est le Capitaine Georges CENCI. Un ami. En juin 1991, ce gendarme était directeur de l’enquête judiciaire sur le meurtre de Madame MARCHAL. Depuis 19 ans, il se bat pour que la vérité éclate au grand jour. La vérité du dossier d’instruction. Pas celle du système médiatique ; celle des faits réels et prouvés. »


dans l’affaire de Toulouse, un gendarme va faire de même, et entraîner la tornade que l’on pu voir avec notamment Karl Zero offrant un Espace à l’une d’’entre elles. Au bout, il y avait tout un racontar complet qui visait Dominique Baudis, totalement innocent et le substitut Bourragué, lui aussi étranger à l’affaire qui n’en était pas une. Alègre est un psychopathe et c’est tout, et la police à mal enquêté sur ses crimes : mais il n’y a rien eu des délires qu’un gendarme, l’adjudant Roussel, a instrumentalisé, entraîné dans une spirale. Voilà où ça peut AUSSI mener ce genre d’obtus. Derrière l’affaire Alègre, se profile l’ombre du grand rival de Baudis, rien d’autre. 

http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article404« Depuis deux générations, les familles Baylet et Baudis sont en guerre. L’opposition entre Jean-Michel et Dominique a fait les beaux jours de la ville, après que le jeune journaliste eut repris le flambeau de son père à la mairie. Depuis, la hache de guerre n’a jamais été enterrée. De plus, le patron du quotidien et sa mère ont été assez sévèrement accrochés par des juges locaux dans une affaire d’abus de biens sociaux. La Dépêche va-t-elle se servir du dossier Alègre pour régler ses comptes avec la justice et l’ancien maire ? Dominique Baudis en est persuadé. Jean- Michel Baylets’en défend. C’est en tout cas sur ce terreau politique local que se développent sous le manteau les accusations contre Baudis. Car les articles des deux journalistes ne sont pas passés inaperçus aux yeux de leurs confrères. Certains parviennent à retrouver la trace, à Pau, de l’avocate de Patricia, Me Florence Hegoburu. »

donc : méfiance, avant d’enfourcher le mot « VERITE »...

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