Question intéressante, puisqu’elle met en lumière les limites de l’homme. L’idée devrait s’imposer ; c’est le sentiment, l’émotion, et leur lot de faiblesses qui toujours prédomineront en dictateur. Il suffit de voir que la rareté fonde les valeurs. Le juste est valeureux ; c’est dire combien il est seul ; combien il est inhumain.
Qui sont nos amis (nos clients) ? Sont-ils réellement valeureux ? Ne cherchons-nous pas à nous entourer de « semblables-de-peu-de-valeur » pour nous grossir par le nombre lâche ou bête, plutôt que de chercher à nous hisser par la fréquentation de qui nous permettrait de combler nos lacunes, de récurer nos points de corruption ?
Humain trop humain, sans doute. Mais l’auteur a raison, je pense, quand il souligne que l’inhumanité des structures est atteinte par l’ignorance, favorisant un clientélisme néfaste. Oui, il faut faire avec les défauts de l’homme, et, pour les corriger, il faut les exposer. C’est en cela que je crois à une sorte de noocratie (sur laquelle j’ai travaillé depuis des années).
24/05 17:40 - Georges Yang
J’ai bien aimé la conclusion : « rien n’indique que sa disparition assurera un (...)
24/05 13:42 - Daniel Roux
L’auteur fait l’amalgame entre le clientélisme structurel et légitime romain avec (...)
24/05 12:39 - roma
Question intéressante, puisqu’elle met en lumière les limites de l’homme. (...)
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