@ l’auteur ,
J’ai plussé votre article car je le trouve génial on y trouve toutes les peurs et tous les vices de nos sociétés, peur dont nos élus jouent pour nous mener par le bout du nez, vieux dont je fais parti (63 balais) mais j’essaye de ne pas avoir la mémoire selective et de conserver mon idéologie de jeunesse plutôt a gauche même si avec le temps je la classe dans les utopies que j’ai vécu, je me suis aperçu que tous mes potes avec le temps ont fait comme les kouchner,besson et Cie comme la chanson de Dutronc ils se sont embourgeoisés et ils ont peur pour le peu de bien qu’ils possèdent, ils ont jetés leurs idées généreuses aux orties pour se comporter comme les bobos qu’ils dénonçaient en 68 ils sont devenus pitoyables prèts a voté pour le F Haine qu’ils vomissaient à l’époque , il est vrai que la crise financière n’est pas venue de nos amis des States et de leurs hedges fun mais bel et bien des pauvres bougres qui ont fuis leurs pays pour cause de misère et qui ne voulait pas que leurs enfants connaissent le même sort qu’eux.
Notre pays a oublié ses fondamentaux ce qui faisait sa force et sa reconnaissance mondiale , la tolérance et la générosité.
A méditer , cette jeunesse violente ne prend-t-elle pas conscience que son avenir à été gravement hypothéquée par la génération de leurs parents qui ont en majorité baissé les bras et ont étés absents de l’éducation de leur progéniture en faisant de nos enfants ROIS nous en avons faits des enfants DIEUX avec seulement des droits et aucun devoir ?
Un rêve sans étoiles est un rêve oublié.
Eluard (Eugène Grindel, dit Paul)
http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-jeunes-50163957.html
Si l’on parle aujourd’hui des banlieues comme de « territoires » à « conquérir » ou « reconquérir », si l’on parle aussi facilement d’espaces « décivilisés », de « sauvageons », de « défaut d’intégration » ou de « défaut d’éducation » de « karchérisation » ; si l’on parle aussi facilement de « nécessaire adaptation » de la législation à des populations radicalement différentes des « blousons noirs de jadis », vivant « en dehors de toute rationalité », c’est que ce vocabulaire, et le regard qui le sous-tend, n’ont rien de nouveau. C’est un vocabulaire et un regard qui rappellent étrangement ceux qui ont eu cours, il y a plusieurs décennies, à propos de « l’indigène » - un « indigène » dont les « jeunes de banlieue » sont par ailleurs, pour une large part, les descendants.
http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-immigration-50281206.html
Pendant que les médias nous servent tous la même soupe aux marronniers, la crise continue pourtant son petit bonhomme de chemin, de redressements en liquidations, d’allocations chômage en RMI, de grèves en séquestrations.
C’qu’on dit pas, c’est que t’as plus de chances de passer l’arme à gauche en rentrant chez toi le soir que de périr grignoté par des vilaines bêbêtes à Mexico.
Si je t’assure.L’autre soir en rentrant chez lui.......
http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-du-lourd-45258030.html